𝐑𝐄𝐂𝐄𝐔𝐈𝐋 𝐎𝐍𝐄 𝐒𝐇𝐎𝐓 // 𝐄𝐗𝐎
Au travers de ces différents récits (bien plus court que mes autres OS), vous pourriez découvrir différents styles d'écritures, ces récits s'apparentent davantage à de courtes nouvelles où les membres d'EXO s...
La chaussée était mouillée, une veste noire épaisse et robuste brillait à travers des gestes brusques. Un jean bleu déchiré qui avaient perdu beaucoup de sa teinte, usés aux poches cachait avec peine ou plutôt avec la simplicité d'un jeu d'enfant le corps de l'individu qui le portait.
Un bad boy des années 80, se présentant comme un délinquant, bien dissimulé dans un homme avec une mentalité hostile, une foi enfantine. Un cigare allumé dans la pénombre, tenu fermement entre les lippes du jeune homme, perdu dans ses pensées, il était ce que vous n'avez jamais eu l'intention d'être.
Kim Jongin
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Sous la moralité de mes visualisations, ou plutôt de mon admiration, ce que je croyais être des questions scandaleuses n'était que des extrêmes ?
"- Eh bien, pourquoi vis-tu seul ?"
Après avoir découvert que je vivais vraiment seul, j'ignorais cela comme un gaspillage de l'espace pertinent, incessant. Heure après heure, vos questions ont commencé à fleurir dans ma tête, dans mon espace vital, de plus en plus, jusqu'à ce que..
Dans le sens où j'en suis devenu un peu nerveux, le silence se serait infiltré à travers mon évident silence.
Étrange.
Et, j'avais grandi, solitaire, habituel, de plus en plus tendu, jusqu'à ce que je fis face à l'opposé de moi-même et que j'en change le sujet.
Mes mains n'étaient devenu que le sujet de manipulation et torture, ma nervosité et mon silence se noyant dans ce sang, le sang d'un inconnu, mes muscles devenant de plus en plus tendu à en avoir des crampes, j'en cachais encore à l'intérieur de toute ces actions mon évident silence.
Assassiner ou se suicider ?
Je devais d'une impulsion déclenchée du bonheur, un bonheur inébranlable et que seul une personne peut me procurer, mettant fin à cette situation incertaine où j'étais roi. J'étais assis sur le trône absurde que je faisais polir chaque jour de mes mensonges et de mon incertitude sur ce que je deviendrais le lendemain, je ne devais penser au lendemain, à quoi bon ?
Vivre au jour le jour.
Tu as étais mon déclenchement.
Les questions inondées immensément mon être, comment quelque chose de si petit pouvait être si rempli de la vie et de la joie ? J'en deviens saisi, pétrifié, l'envie de tuer avait surmonté chaque peau qui pelé sur mes mains.
