Boyfriend or nah? T|BS

Chapter 5

28 octobre 2015.

7h00 du matin.

Nous ne pouvons pas dormir dans cette hôpital.

Je deviens folle, je fais des cauchemars. J'ai des hallucinations, si seulement Thomas pouvait m'aider.

Mon corps me brûle.

Des coups de pistolets, encore et encore. Voilà maintenant 4 jours que je suis ici et au moins 10 personnes sont mortes.

Je regarde mon pistolet qui est prêt pour me tuer, si seulement je pouvais l'atteindre et me tirer une balle..

Mais je suis attachée, j'ai vraiment hâte de revoir Thomas. Ce gars, il est vraiment cute avec sa tête de fœtus.

Mais en fait, le docteur Mendes qui me suit depuis mon plus jeune âge, m'a toujours dit que mes parents été mort dans un accident de voiture ..

Et si c'était de eux que provenaient cette maladie?

Et si c'était eux, qui me l'avaient refilé ?

Oh non j'y crois pas, mes parents sont morts, infectés eux aussi.

Et d'ailleurs, lorsque je suis née, ils l'étaient déjà peut-être mais d'où provient cette maladie ?

Je ne mange presque plus, ce matin, nous avons eu le droit à un pain au chocolat? C'est pas de l'hôpital ça, un petit mot ..

"Mange April, ça te fera du bien de mangé quelque chose de bon, il est encore chaud, je n'ai pas encore le droit de te rendre visite mais je t'attend au rez-de-chaussé, surtout s'il te faut quoi- que-ce soit demande-le à l'infirmier et il me passera le message - Thomas"

Awn mais il est tellement chou. Ce garçon est un ange.

- S'il vous plaît ?

- Oui?

- Thomas pourra monté à quelle heure ?

- D'ici peu, il pourra.

- D'accord, merci.

- C'est normal, surtout si tu as d'autres questions, n'hésite pas, je suis là.

- Cette arme est chargée ?

- Oui.

- Elle servira à me tuée quand le moment sera venu.

- Oui c'est bien ça.

- Le moment approche c'est ça ?

- Oui, April, à quoi bon te mentir? Il ne te reste que quelques jours maximum à vivre.

- La mort approche.

- Oui .. C'est triste quand même, quand je vois votre âge, vous êtes si belle, si aimable, si jeune et intelligente. Vous méritez de vivre. Thomas a raison, ce sourire doit vivre. Thomas arrive. Je vous laisse, je suis là si tu as besoin.

- Bonjour ma belle !

- Bonjour Thomas, tu m'avais beaucoup manqué !

- Sache que toi aussi, tu m'as beaucoup manqué. Je t'ai ramené ça, c'est pas grand chose, je sais.

- Oh mais c'est magnifique, c'est fait main ?

- Oui, c'est ma mère qui les a fait.

- Les?

- Oui regarde, j'en ai un aussi.

- Tu lui diras que ses bracelets sont magnifiques, merci beaucoup Thomas, ça me fait énormément plaisir, à vrai dire, c'est le seule cadeau qu'on m'ai offert, à part cette peluche que le docteur Mendes m'avait acheté pour mes 10 ans et ce portrait de mes parents quand j'en avais 14.

- Si tu veux ..

- Non ça me fait super plaisir Thomas, sérieusement.

- April, il se peut que j'ai trouvé un remède.

- Un remède ? Thomas, l'infirmier me l'a dit, il est trop tard, je n'ai plus que quelques jours à vivre.

- April, écoute-moi.

- Je t'écoute.

- Voulant devenir acteur, je regarde énormément de films.

- Oui, je sais.

- Laisse-moi finir.

- Désolé.

- Donc j'ai reregardé (je sais pas si ça se dit) la terre brûlée pour voir le fameux remède à la fin. Et il se peut que j'ai fait des tests. J'ai peut-être trouvé un moyen de te faire guérir April.

- Oh, je suis émue, je ne sais pas quoi dire.

- April, demain, je fais un échantillon et je l'essaye, tu me fais confiance ?

- Oui, Thomas.

- Si tu meurs, je m'en voudrais à vie.

- Thomas, tu essayer as cette l'échantillon sur moi, de toutes façons, je vais bientôt mourir.

- J'ai juste besoin de quelques gouttes de sang de mon meilleur ami.

- Ah répugnant.

- Tu trouves ça répugnant?

- Ah mais pas plus que ma jambe hein. Thomas, mon corps me brûlent, j'ai l'impression que je vais prendre feu.

- Ne t'inquiète pas, demain, tout ira mieux, je te le promets.

- Tu as intérêt, sinon je te mange.

- Ahahah.

- Monsieur Sangster, votre heure de visite est terminée, veuillez-nous rejoindre.

- April, je reviendrai, demain très tôt.

- Merci pour le pain au chocolat au fait. Il était délicieux.

- C'était normal. Bisous.

- Bisous Thomas. À demain.

J'ai confiance en lui, mon cœur me le dit. Il me dit de lui faire confiance. Et oui, mon cœur ressent encore des sentiments.

Mes os se détruisent, ce virus le rongent de l'intérieur, j'ai l'impression d'être un élastique que l'on tend de tout les côtés, les veines me brûlent de plus en plus. Pitié que ce remède fasse effet.

VOILÀ POUR LE CHAPITRE 5. J'ESPÈRE QUE ÇA VOUS A PLUS !