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18e abandon. Je désespère.
Marre de tous ces amis éphémères.
Il faudrait que j'apprenne à savoir lâcher prise...
Ils ont en marre de moi, malgré ce que d'autres disent

Mes vrais amis m'affirment que ce sont tous des lâches,
Mais dans l'affaire c'est moi qui suis une pauvre tâche.
J'ai tort de m'aggriper aussi éperdument
À des gens (bien ?) qui, à force, en se lassant

Me laissent dégringoler. Pourtant je vois venir...
Je devrais l'éviter.... En les laissant partir
Car qui pourrait encore vouloir mon amitié
À part des cas étranges aussi rares qu'isolés ?

Non, apparemment, je dois me faire une raison,
Et croire ma pessimiste phobie des abandons.
Un jour peut être que j'y arriverais
Et peut être même que ce jour là enfin je parlerais.

(Oh, et, accessoirement, 18 est mon nombre fétiche X3)

PoèmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant