A la fenêtre

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Je t'attendais

En général tu venais

Le paysage défilait

Et on parlait

On allait au même endroit

A chaque fois

Je n'avais d'yeux que pour toi

Tu comptais tellement pour moi

Puis un jour tu es partie

Chaque matin je te voyais ici

Mon âme crie

Mon regard te supplie

Puis j'ai arrêté

J'ai cessé de te regarder

J'ai tenter de t'oublier

Sans y arriver

Mais j'ai compris

Je n'étais pas ton amie

Même quand en me parlant tu me souris

Je sais que j'ai sombré dans l'oubli

PoèmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant