ღ Chapitre 1. ღ

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L'avion décolle, je regarde par le hublot la ville de Miami, mais étant donné que j'ai le vertige je ferme le hublot. Avant de fermer je voyais de la barbe à papa blanche... Hum. Tiens, j'ai soudainement envie de barbe à papa !!

Une fois que l'avion est assez haut, je mets mes propres écouteurs, je les branche à la "télé" de l'avion, une musique se met en route toute seule, elle est réellement nulle ! Je cherche un film à regarder et je vois "Cher John" mon film romantique & triste préféré. Je le mets directement et m'installe confortablement dans mon siège, je me mets à le regarder, jusqu'à un moment, où je me mets automatiquement à pleurer, je ne sais pas pourquoi je pleure. Mais c'est comme ça. Une hôtesse vient me voir pour savoir si je vais bien, je lui réponds que oui je vais bien puis elle me propose une flûte de champagne que j'accepte immédiatement, j'adore le champagne, non, je ne suis pas une alcoolique hein. Puis j'enchaine les films, et finis par m'endormir devant "Remember Me".

J'arrive, plutôt j'atterris à Hawaï, enfiiin... Je n'ai qu'une hâte, c'est de me lever et me dégourdir les jambes.

Après avoir récupérer mes trois valises, je passe la douane, et me dirige vers la sortie de l'aéroport, je passe les portes et une bouffée d'air lourd et chaud m'arrive en pleine face, ouf. Je me retrouve en plus de ça en haut d'un escalier immense ! Putain...

Je vais pour prendre ma valise à chaussures mais elle me glisse des mains et elle dévale les escaliers, jusqu'à atterrir tout en bas.

"- NOOOON ! Mes chaussures."

Je descends - aussi vite que Flash - les escaliers. Mes pauvres chaussures, et mes pauvres sacs, ils doivent être tout secoués. SNIF. Une fois que j'ai vérifié que ma valise allait bien, je vais pour remonter les trentaines de marches pour chercher mes deux valises, lorsque je vois qu'un garçon me les descend. Il porte une valise dans chaque main, ce qui fait ressortir ses muscles, et pour tout dire il est vraiment musclé. Mais pas trop non plus, c'est pas dans l'excès. Je le regarde, il me sourit, je regarde mieux son visage, il est vraiment beau. Je lui souris en retour, d'un sourire sincère. Cela faisait longtemps que je n'avais pas sourit vraiment. Arrivé à ma hauteur, il me déposé mes valises à mes pieds, puis il me regarde toujours son magnifique sourire aux lèvres.

Moi : Merci, beaucoup.

... : Et bien de rien, c'est normal. Aider une belle demoiselle en détresse. C'est toujours un plaisir.

Il me fit un sourire Colgate.

Moi : Ahah..., son sourire laisser apparaître ses dents blanches, parfait !

... : Et tu es ?

Moi: Skye. Je viens d'arriver.

Pourquoi je lui ai dis ça ? Pfff n'importe quoi Skye, vraiment.

... : Enchanté Skye. Oui, je crois le comprendre avec toutes tes valises. Trois valises quand même.

Skye : Oui. Hihi. Affaires de filles. Et toi tu es ?

Un homme arriva vers nous, se pencha vers l'oreille du garçon puis s'éloigna.

... : Je dois y aller. Mais on se reverra. J'en suis sur.

Il partit en me laissant seule.

Skye : Enchantée, "Je dois y aller. Mais on se reverra. J'en suis sur." long prénom à quand même.

Je soupire car il ne m'a même pas dit son prénom.
J'appelle un taxi, mets mes valises dans le coffre, sans l'aide du chauffeur, évidemment, et lui indique l'adresse.
Le taxi s'arrête devant un grand hôtel, immense. Mais vraiment immense. Il doit y avoir un vingtaine d'étages, mais pour moi qui ait le vertige c'est énorme ! Je crois que ma suite est au cinquième étage. Cette tour ou immeuble est en plein coeur du centre d'Hawaï.
Autour il y a pleins de bâtiments, des immeuble, il y a le quartier d'affaires pas très loin. Des hommes passent en costard cravate, des femmes en tailleur jupe, et pantalon, ils marchent d'un pas pressé, et rapide, des voitures et limousines un peu partout,... Cela ne change pas de mon ancien quartier, à vrai dire. Je paye le taxi, sors mes valises du coffre, encore une fois sans l'aide de cet atroce chauffeur, à peine ai-je refermer le coffre que le chauffeur démarre en lâchant une fumée noire et une odeur d'essence absolument dégueulasse et écœurante. De plus il fait horriblement chaud.

Arms [ FR ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant