.Chapitre 1: le changement de vie.

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Normalement, vous avez lu le résumé, donc vous savez que je m'appelle Lilith, vous pouvez m'imaginé comme vous voulez, je m'en fiche, vous pouvez m'imaginez rousse ou brune, avec les yeux vert foncé ou bleu clair. Que je sois maigre ou grosse. Je suis unique a cause d'une malédiction.

Je suis dans ma pièce respective, assis sur mon lit, je ne fais rien de mes journées. Enfin non, je PEUX rien faire de mes journées. Ils nous donnent des tonnes de médicaments, pour qu'on ne puis ce pas utilisé nos pouvoirs.
Je reste donc toute ma journée, dans cet pièce, seule, il y a de quoi devenir folle, je ne sais pas par qu'elle miracle, je ne le suis pas devenu. Ça fait 15 ans, que je pourrie ici.
On ouvra brusquement la porte, c'était deux personnes qui venait pour m'enfoncé ses fontus médicaments dans la gorge.

- Mlle, ouvrait la bouche, me dit un homme en face de moi.

L'autre homme commence a me tenir les épaules pour pas que je me lève. Mais c'était pas mon attention, je bouge pas d'un pouce. De toute façon ça ne sert à rien. Mais je n'ouvre pas ma bouche, le pire c'est que leurs médicaments sont immonde. Je sais pas, ils devraient faire au goût fraise ou banane...

- Ouvrait la bouche, sinon on vas usée de la manière forte. dit il avec un calme effrayant.
- Vous devrez avoir l'habitude, depuis le temps... lachais je, à chaque fois que je parle, je trouve que ma voix sonne faux.

Il prit exactement 13 pilules et me les enfonça au fond de la gorge, quand il enleva ses doigts de ma bouche, ils partirent sans rien dirent et comme d'habitudes il claqua la porte de ma cellule, avant de partir torturé un autre enfant.

Je m'allonge dans mon lit, je veux partir de cet endroits maudits. J'ai 19 ans, je suis majeure depuis un an, je dois partir...

Quelqu'un ouvre la porte.

- Vien, c'est l'heure du déjeuner. dit il presque mécaniquement.

Je me lève, tête baissé et j'avance lentement, en traînant les pieds. Même si j'aime plutôt bien allée au réfectoire, c'est le seul moment de la journée, où je peux voir d'autre personne comme moi. Je me sens moins seule.

Arrivé au réfectoire, je m'assois à la table où je vais tout le temps, car, de ce point, on y peut voir toute le cantine.
Il avait des personnes de toute âge, de environ 5 ans jusqu'à mon âge, je suis la plus grande dans ce sinistre endroit. J'ai un certains mérites à ne pas êtres devenu folle, contrairement à plein d'autre, mais je n'ais aucune idée pourquoi, je ne le suis pas. Quand on devient fou, on devient ingerable, donc pour leur facilité la tâche, ils nous tuent. Des fois, je veux mourir, juste pour que le calvaire se finisse.

Il n'y pas souvent de nouveau, le dernier est arrivé il y a deux ans.
Attendez... je crois qu'il y a un nouveau aujourd'hui. Une fille d'environs 6 - 7 ans, rentre dans le réfectoire, elle avait un doudou (les personnes autorises aux petits d'avoir une peluche), je ne l'ai jamais vu ici. Tout le monde la fixent, elle regarde autour d'elle même avec des larmes au yeux, mais son regards se pose sur moi, et elle commence à avancer vers ma table. Je baisse la tête pour plus qu'elle voit mon visage. Mais elle continue quand même à venir vers ma table. Dès qu'elle arrive près de moi, elle déclare:

- Je m'appelles Charlotte, dit elle en essayant, sûrement, de ne pas éclaté en sanglot. Et toi?

Elle s'assit à côté de moi. Ça fasait longtemps, longtemps que j'ai parlé avec un enfants.

- Tu peux parlé? me demanda t'elle.

Je secoua la tête pour dire que "oui".

- Tu veux pas parlé, c'est ça? Tu ne veux pas me parlé? dit elle en baissant sa tête.

FreedomOù les histoires vivent. Découvrez maintenant