Une vie, ma vie, une envie.

Une dernière chance ?

J'étais rentrer à pied, j'étais encore fragile, je marchais doucement, j'avais mon sac et mes clés je voulais rentrer mais la porte était déjà ouverte, je savais que sa arriverais un jour, je pris le pied de biche cachée dans le couloir, je le tenais dans les deux mains, javancais vers la porte.

Personne, si il y avait quelqu'un car mon chat avait été nourrit, javancais doucement vers la chambre et je le vis assis sur mon lit à regarder ma photo dans les bras de mon père et ma mère, seule photo qui me reste.

cetais mon agresseur ou mon sauveur, je sais pas.

- Que fais tu la ?

Il s'etais saisi et avait fais tombé la photo mais elle n'avait rien, j'avais eu peur de perdre mon seul souvenir d'avant.

- Je t'attendais.

- Je suis pas dans mon assiette.

- Tu as reçu mon message ?

- Oui.

- Et?

- Et, rien, je sais pas pourquoi tu tacharne sur moi mais laisse moi.

- Je peux pas, je suis amoureux.

- Cest bien mais je sais rien y faire, va voir une psychologue.

- Non, je suis amoureux de toi, de ta rébellion et de ta sensibilité.

- Sort de chez moi.

- s'il te plaît, laisse moi ici, je sais pas ou dormir.

- Ok mais sur le divan, d'accord ?

- D'accord.

Il était quand même beau et sont visage tendre, j'étais stupide mais

- Pourquoi tu m'as agressé ?

- Car je voulais toi et rien que toi pour moi, partir et te gardais près de moi.

- Tu aurais pu venir me parler que essayer de me violer.

- Désolé..

- Pas grave, tu veux manger quoi? il est déjà tard, dix-neuf heures.

- Une pizza.

je partit dans le salon commander la pizza, il me plaisait beaucoup se garçon, peux être trop.

Une heure passa et on se dit rien, les pizza arrivait, on mangea à deux, jallumais la télé et me posère tranquillement.

Il était près de moi, on se regarda, il s'approcha, son parfum était doux et me rappella sa bouche sur la mienne.

Je m'avancerais aussi, on s'embrassa, puis c'est devenu plus chaste, lui sur moi, ne sachant plus se quitter.