Chapitre cinquante trois.

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Bonjour, j'aimerais vous préciser quelque chose. Ça ne sert à rien d'harceler en privée pour avoir un nouveau chapitre ! J'ai une vie à côté de l'écriture. Certains commentaires sont mêmes irrespectueux.
«Je te conseille de mettre un nouveau chapitre tout de suite.»
Vous n'êtes personne pour me dire ce que j'ai à faire. Bref, merci aux autres qui me soutiennent.❤️

(- Point de vue Dylan.

Nous avons vraiment besoin d'argent avec Léa, Marie et Thomas. Oui, Thomas est dans notre bande maintenant, il a dit qu'il voulait se venger de ce couple car il ne l'avaient pas mit parrain. J'ai trouvé ça ridicule mais une personne de plus dans l'équipe nous arrange. J'habille Maëlys, elle bouge dans tout les sens.

"- Arrête de bouger, putain de merde." lui criai-je

Ce n'est pas criant qu'elle arrête de bouger cette conne. Je lève la main et la plaque sur sa joue. Ses cris et ses pleurs sont mélangés.

"- Hé qu'est-ce que t'as fais ?" crie Léa en entrant dans la chambre.

Je regarde Maëlys, merde, j'y ai été fort.

"- Pousse-toi connard." lâche-t-elle

Je saisis son bras et la retourne d'une force incroyable.

"- Parle moi encore une fois comme ça, je t'encastre dans le mur. T'as compris ?!" criais-je

"- Écoute-moi bien Dylan. Tu ne fais peur à personne dans cette maison. Tu peux lever la main sur Maëlys autant que tu veux, mais si ils la retrouvent morte tu n'auras pas d'argent. C'est toi qui vois ! Débrouille toi maintenant." dit-elle en lâchant mon emprise sur elle.

Elle quitte la pièce en une fraction de seconde. Elle a raison, il faut que je me contrôle. Je retourne vers Maëlys et change sa couche et tout ce qui s'en suit.

"- Pauvre fille, elle a les mêmes affaires depuis deux mois." pensais-je

Nous avons décidé de contacter Sacha et Romane parce que Marie et moi attendons aussi un enfant et on avait besoin d'argent pour tout acheter alors on a décidé de rendre Maëlys, de toute façon elle nous servait à rien à part casser la tête et pleurer tout le temps pour son biberon de lait. Sauf qu'à chaque fois, elle a eu de l'eau.

"- C'est l'heure d'y aller." crie Léa d'en bas.

Je prend Maëlys dans mes bras et l'enroule dans une couverture. Je saisis mon téléphone de l'autre main et envoie un message.

"- 14 heures devant la statue de la ville. SANS FLICS !"

Nous sortons de la maison, je pose Maëlys sur une couverture dans le coffre -elle a l'habitude- et démarre la voiture.

Après une bonne dizaine de minutes nous arrivons enfin devant la statue. La rue est déserte, à vrai dire, cette rue n'est pas souvent fréquentée. Je sors de la voiture en laissant Maëlys dans le coffre pendant que je planifie tout. Je sors un crayon et un bout de papier de mon sac et écrit : "laisse l'argent à côté de la petite, si tu fais un faux pas, je bute ta fille. Tu vas sûrement rire car tu te demande comment je vais la buter ? je tiens un fusil dans mes mains et le front de ta fille est dans mon viseur. Ça fait froid dans le dos hein ?"

Je laisse le petit mot et regarde ma montre. 13:50, ils ne vont pas tarder à arriver. Je pars chercher Maëlys et la met sur la statue avec sa couverture en dessous d'elle. Je crache sur elle en passant. Je remonte dans ma voiture et me gare un peu plus loin où je peux avoir Maëlys dans mon viseur. Les filles sont derrière moi.

"- Tu ne la tue pas ! Même si ils ont l'argent." dit Léa.

"- Si." dis-je sérieusement.

"- Tu n'a pas de cœur ! Imagine ce serait ton enfant." dit-elle

Je me lève et lui donne un coup de pistolet dans le nez. Du sang commence à couler le long de son visage pour finir sur son t-shirt blanc.

"- Ferme ta gueule maintenant."

Elle tient son nez en se retenant de crier de douleur.

Je me tourne et aperçois Romane et Sacha devant la statue. Romane prend Maëlys dans ses bras en pleurant toutes les larmes de son corps, pendant que Sacha lit le mot en levant les yeux de temps en temps. Il arrache le mot une fois terminé et regarde une fois de plus autour de lui, il fait un doigt d'honneur à mon opposé et lâche la valise. Je souris et attendent qu'ils partent pour descendre prendre l'argent. Nous sommes riche ! Ils remontent dans leur voiture et s'en vont. Je descend à toute vitesse et ouvre le sac. Ce sont des journaux.

Ils n'ont pas fait ça ? La guerre n'est pas terminée.

_____

Et voilà !

Qu'en pensez vous ?

Bisous. ❤️❤️❤️

L'intello et le bad boy.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant