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J'ai été blessé par ta lettre. J'avais passé la pire soirée de toute ma vie. Je me souviens de ton corps frêle épuisé par la fatigue et cette foutue dose de médicament que tu prenais en cachette.

Je me souviens comme si c'était hier, ce jour qui est maintenant bien loin derrière nous.

A présent, je suis à tes côtés, plus proches et plus déterminé que jamais depuis cet ''accident'' de l'autre jour.

En début d'après midi, je t'ai placé un écouteur dans ton oreille droite et a lancé la playlist ''Joyeuse''.

J'avais une envie de joie, une pulsion qui s'affluait dans mes veines, un manque de liberté qui commençais à se développer dans mon corps. Je l'avoue, cela fait déjà un petit moment que tu est dans le coma. Et rester tous les jours, toutes les heures, chaque secondes dans un hôpital où je vois des dizaines de personnes défiler en pleurant, attendant des nouvelles de leurs proches. Des vies on basculées depuis ton arrivée.

Tout cela me sors des orbites. Je veux devenir positif même si c'est compliqué, je ne veux plus me cacher derrière un masque ignorant la vie qui m'entoure. J'ai le cœur serré de jour en jour et ce n'est pas pour améliorer mon état. Qui était devenu cadavérique, mais j'ai repris des couleurs et respire plus souvent l'air pur de dehors.

*

1 semaine plus tard.

Je fut réveillé en plein cœur de la nuit par un horrible cauchemar, il était environ 03h30 quand je décida d'aller me chercher, un bon café bon chaud, sauf que j'avais envie de changer, les nuits d'été sont extrêmement lourde et quelques orages éclatent sous cette chaleur de mois d'aout et je n'avais pas trop la tête à prendre une boisson chaude. Je voulais me rafraichir les esprits pour mieux réussir à me rendormir.

Je pris donc un Ice Tea et repartis dans la chambre, à ton chevet.

C'était en revenant que j'avais enfin un e bonne raison de sourire.


Désolé, pour cette absence mais les circonstances de ces jours précédents m'ont énormément touchés.  Alors je n'avais pas la tête à cela.

Paix aux victimes et à leur familles.

Bisous.

PS: la suite ce soir.

ASHAELOONGS



Sorry, I love you --Calum HoodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant