Épilogue 1/3

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Flashback

6 ans plus tôt (le soir de l'entré de Lola dans son coma)

20h39

Quelques heures après que tu aie quittée ma maison sachant la vérité, en pleurant, m'insultant de ton les noms possibles que tu n'avais pas l'habitude de dire, je me décida alors te t'envoyer un message. Dedans je te demandais si tu voulais bien que l'on se voient pour que je t'explique, même si j'en savais déjà la réponse.

Par habitude tu répond vite, mais ce soir tu en as décidé autrement me faisant regretter ma décision.

Je t'aie appelé mais tu ne répondais toujours pas, alors que le stresse se diffusait à travers mon âme. Je ne contrôlais plus mes faits et gestes que j'en éclata mon point dans le mur qui se trouvait en face de moi. La sang coulait le long de mon bras impuissant face au choix qui tu a décidé de prendre.

La rage s'emparât de moi, je pris mon courage à deux et fonça jusque chez toi en voiture. Je n'avais pas pour habitude de prendre la route à cette heure ci, mais pour toi j'affronterais tout les dangers, même dans une nuit telle que ce soir, où la pluie battante tombait en masse et j'écrasais sur mon pare-brise.

J'avais peur pour toi.

Les bandes blanches défilaient à vive allure sous mes yeux devenus troublent, ravagé par les larmes. Je lâchais à plusieurs reprises le volant tellement que mes mains tremblaient sous le stresse et appréhension de savoir dans quel état j'allais te trouver.

Alors qu'en réalité je mets dix minutes à arriver chez toi, là en deux minutes je me gara dans la rue de ta maison.

Aucune lumières étaient allumées.

Quand je fis le tour de ta maison j'aperçus celle de ta salle de bain allumé. Par chance ta porte d'entrée était restée ouverte me permettant de rentrer. Je monta les escaliers tout tremblant m'obligeant à me tenir à la rambarde en fer.

Je m'avança vers la salle d'eau où je vis le peu de lumière passer par l'embrasure entre ouverte.

J'appuyais sur la clenche et poussais la porte.

Et 3...

Et 2...

Et 1...

Je rentra et découvrit ton corps immobile contre la baignoire, remplis d'eau. A tes côtés plusieurs dizaines de boîtes de comprimés jonchaient le sol, à moitiés prises.

Le pire de cette scène était le revolver que tu tenais dans ta main droite. Je m'approcha de toi. Ton maquillage parfaitement soigné avait atterri sur tes joues laissant tes yeux rouges à nus et tes cheveux étaient en batailles comme mon cœur à cet instant.

''Lola, arrête tes conneries.''

Aucune réponses.

''Lola! Putain réveille merde.''

Ma respiration s'accéléra, toujours pas de réponses.

Je dévala les escaliers à vive allure te portant de la toute petite force qu'il me reste jusqu'à l'hôpital.

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Bonjour tout le  monde, désolé de poster que maintenant mais j'ai eu quelques complications pour mettre en place la fin de mon histoire. D'abord il y aura 3 parties d'épilogue poster à la suite.

J'espère que l'histoire vous plais toujours? 

N'hésitez pas à me le dire.

Ashaeloongs.



Sorry, I love you --Calum HoodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant