Ma triste vie.

Une semaine au par avant

Ce lundi matin j'attend mon train qui arrive à 5:54 du matin pour arriver en cours,

comme par habitude j'attend le train d'un n'ami nommé Tsuba âgé de 17 ans,

donc je m'assois sur un banc devant le quai patientant quelque minute attendant que son

 train arrive en fin. Hélas le train arrive mais sans Tsuba et tout le monde me regarde les visages 

pleins de moqueries, furieuse j'envoya un message sur mon téléphone à Tsuba.

                                                         conversation SMS Moi et Tsuba :

Moi : Salut, tu ne viens pas?

Lui après 5 minutes : Flemme

Moi : pff sympas bon moi j'y vais alors tu aurai pu me prévenir.

Je rangea mon portable en pestant folle de rage toujours et me mit à courir pour ne pas arriver en 

retard car le lycée et loin d'où je suis, quand je fus arriver je respira un bon coup fatiguée la sonnerie 

avait déjà sonnée deux fois...

Génial en retard... je repris ma course folle dans les escaliers pour aller à la vie scolaire ainsi tout mon 

billet de retard eu j'emprunta un pas regrettant de mettre dépêcher voyant deux filles au loin de ma

 classe me regardant d'un air de frimer, ne faisant pas attention je pénétra dans le bâtiment et arriva 

enfin à ma salle je toqua et entra donnant mon mot à la prof et m'écroula sous la fatigue du trajet.

Je me réveilla dans une pièce me semblant familière avec une voix chaleureuse.

L'infirmière - Tu es encore tombée dans les pommes..

Moi -Ah... merci de ne pas avoir appeler les pompier, sa fait combien de temps que je suis la?

L'infirmière -Bah en fait ils arrivent ma belle et sa fait 30 min  

Moi- Mais je vais mieux la !

En entend des pas résonné dans le couloir l'infirmière a voir et l'infirmière me regarde bien embêtée.

Et un pompier vient près de moi et commence à m'examiner et à questionné l'infirmière

Lui - elle fait souvent ça?

Elle - Euh oui

Il se retourne vers moi

Lui - Ta classe te pose un problème?

Ah se moment la ma respiration devient plus forte et dure de ralentir la cadence, ça y est  touché  

Je commençais à faire ma crise de panique...

L'infirmière - Calme toi Manuela ! 

Lui - Elle fait des crises de spasmophilie? 

L'infirmière - Oui, Manuela n'y pense pas elles ne sont pas pense à ce que tu fera après les cours ! 

Je me mit à penser que dès que je serai sorti des cours les gens me dévisageront et se moqueront de 

moi.

Ma crise commencé à s'accentué de plus en plus fort je manquais de souffle je suffoquai j'avais peur...

 peur de mourir, puis j'ai penser à mon chat sa ma directement calmer puis les pompier mon 

emmener et mes parents sont venues me chercher inquiet à l'hôpital.

Ils ne savaient pas ce qu'ils se passaient, je ne voulais pas qu'ils s'inquiète je suis tombé malade 

jusqu'au dimanche soir.

J'appréhendai très bien la routine du  lendemain... mais je n'avais plus envie...

j'en avait marre de pleurer tout les soirs faire mes crises, je n'avait aucun ami avec qui me confié alors

 cette nuit j'ai été dans ma salle de bain comme tout les soirs avant de me coucher avant d'y aller j'ai

 fait un dernier bisou et câlin à mon chat en pleurant il avait beau ronronné je n'en pouvait plus, je 

savais qu'il savait ce que j'allai faire alors je l'ai poser et j'ai été dans ma salle de bain verrouiller la 

porte entendant mon chat mécontent derrière la porte miaulé fort pour prévenir mes parents il 

gratter...

mais je n'en pouvait plus j'ai fait couler l'eau de ma baignoire et pris un rasoir neuf et commença à

 me raser puis une idée m'est venue en tête pourquoi je me ferai pas souffrir une dernière fois? 

je pris le rasoir et commença à me taillader les veines de ma jambes en appuyant fort sur la lame en 

remontant en soufrant en silence sa brûler mon dieu !!!! je soufrai lentement j'eu le temps de me 

plonger dans mon bain et d'hurler de douleur alertant ainsi mes parents qui de suite tambouriner à la

 porte, j'hurla une dernière fois en pleur "Regarder dans ma chambre sur le bureau vous comprendrez ! " j'entendis ma mère crié "Ma chérie qu'est ce qu'il t'arrive?!"

Puis trou noir...