Chapitre 8 : Laissez-moi vivre

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JunHong entra dans sa maison. Enfincelle de son père plutôt. Il fit attention, histoire de ne pas ledéranger s'il était occupé dans ses affaires. Mais il n'y avaitpersonne. Ni dans la cuisine, ni dans le salon. Jun souffla. Il étaittranquille. Finalement il avait redouter sa venu pour rien. Le garçonmonta les escaliers, toujours suivi de près par son stalkerinvisible. Arriver dans sa chambre, il pris ses affaires de cour, etcommença ses devoirs. Son ventre gargouilla ilfaudra qu'il pense à manger une tranche de jambon avec son paindemain. Il finit ses devoirs, en terminant par l'histoire, par lasuite il s'allongea sur son lit et commença à bouquiner. Il aimaitbien lire, sa lui donnait des idées de paroles de chanson. En effet,notre protagoniste écrivait dès que quelque vers se présentait à lui. Il n'avait pas écrit beaucoup de chanson et la plus part étaitpessimiste, mais bon c'était une activité comme une autre. Il finitpar s'endormir, le livre posé sur son ventre, sous les yeux deYongGuk qui était toujours resté au près de lui. Oui, JunHongavait reprit foi en la vie...


Oùsuis je ? Il fait noir je vois rien... Je rêve encore c'estça ? Pourtant c'est bizarre, je sais que je m'appelle JunHong,pas Zelo. Est ce que cette série de rêve serait terminé ?Peut être. Une source de lumière au loin vient d'apparaîtrecomme si on avait allumé un projecteur. Il y a une personne dans lalumière. Je m'approche prudemment de cette dernière, il nemanquerait plus que se soit le monstre qui m'a tué dans mon derniersonge... Je suis plus qu'à quelques mètres et je remarque que lapersonne est un garçon et qu'il est de dos. Il porte un simplepantalon blanc, avec une ceinture de tissu bleu très claire auniveaux de la taille et un débardeur blanc couvre son torse. Il faitla même taille que moi apparemment, mais lui à plus de muscle. Sonteint est aussi blanc que le mien mais ne fait pas maladif pour lui.Se serait moi, mais en bonne santé physique ? Non, impossible,je n'ai pas les cheveux blanc/gris cendré comme lui. Je m'approcheun peu plus, mais je du faire du bruit, car il se retourna. Jedécouvrit alors son visage, et je restait interdit. Stoïque.Paralysé. C'était moi. Il avait les même trait que moi du moins.Il me ressemblait tellement ! Oui c'était totalement moi maisen bonne santé et avec les cheveux argenté. Il avait plus de formedans les joues, signe que lui mangeait à sa faim, il ne devait pasnon plus avoir les cotes et les omoplates apparente comme moi.Soudain un nom s'imposa à mon esprit. Comme si je connaissait cetpersonne qui se trouvait devant moi depuis toujours. Un peu commes'il avait été un frère jumeau à qui j'étais relié sans lesavoir. Je m'avançais un peu plus du garçon qui, je le savais auplus profond de moi, ne pouvait pas être dangereux. Il ressemblait àun ange. Au fond, ce JongUp ressemblait lui aussi à un ange, maislà... C'était simplement différent. Je me retrouvais plus qu'àdeux mètres de mon jumeau. Je prononçais alors le nom qui s'étaitimposé à moi.


_ Zelo ?


Il me sourit. J'en fis de même.Alors j'étais dans sa peau à chacun de mes rêves ? Quatresilhouettes se dessinèrent à l'horizon. J'eus d'abord un mouvementde recul mais, je sentais par la suite les larmes couler sur ma jouequand les trois premières rentrèrent dans la lumière se postantderrière Zelo.


_ Maman... Grand-père...Papa...


Ils était toutles trois devant moi, et me souriaient. Mon père avait retrouvé sevisage aimant qu'il avait perdu après la mort de maman. Grand-pèrelui était toujours dans son habit de moine et maman portait lesmêmes habits que le jour de sa mort. Je n'arrivais plus à bouger,pourtant j'avais envie de me réfugier dans les bras de ma mère, desentir la main de mon père se fourrer dans mes cheveux pour medécoiffer affectueusement comme il aimait temps le faire avant, etde croiser le regard tendre et plein d'amour de mon grand-père. Laquatrième personne rejoignit mes parents dans la lumière.

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