Story

399 14 7
                                    

Prologue d'une «nouvelle story» :

«
Le souffle coupé je courais le plus loin possible, le plus vite possible à la recherche de cette personne que j'avais perdus.

Tendant la main à son poignet comme si j'essayais de me raccrocher à une branche cassante. Il se retourna interloqué ses yeux brillants mais bien moins mouillé que les miens. Il ne comprendrait pas se que j'avais à dire...

Il se détacha de mon emprise se fichant de mes larmes et de mes cris muet.

- Leave me alone, Peter.

Ma voix ne sortie pas de ma gorge. En regardant mes mains je lui fis fasse. Je lui fais des signes qu'il pouvait comprendre.

Je suis désolé de ne pas pouvoir te dire de rester...

Il me répondis dans mon langage des signes qu'il ne m'en voulait pas...

Alors pourquoi pars tu ?

Je voulus le retenir et crier mais je ne pouvais pas. Il était trop grand, trop fort et je n'avais pas la capacité de crier.

Il se tourna avant de monter dans sa voiture et me regarda de ses éternel yeux triste.

Do not forget me...

Il afficha une ombre de sourire et le moteur se mit a ronronner puis il disparu loin de la forêt où je vivais.

La pluie avait trempé mes fins vêtements, mes cheveux étaient plaqué contre mon front et la boue tachait mes bottes usé.

À travers les nuages, l'on pouvait voir le ciel étoilé et la lune brillé.

Une fois de retour à l'orphelinat, Misse Kurt me sourit et me mit une couverture sur les épaules. Elle disait que j'avais de la chance car le langage des signes est universelle, parce que je savais écrire en anglais, français et allemand...

Mais si le pouvoir des langes et si fort, pourquoi ne l'avait il pas fait rester ?

- Soit heureux, il a été adopté par de riches gens. Un jour toi aussi tu quittera cette triste maison.

Elle n'est pas triste notre maison. Je ne veux pas partir...

- Je sais mais se sera le mieux pour toi.

Elle me conduit jusqu'à ma chambre où le vieux tourne disque tournait un morceau de Mozart. Charles avait laisser cette musique triste tourné en partant et je n'avais pas eus le temps de l'arrêté. Je me mit en chemise de nuit et alla éteindre la lumière.

Un nouveau camarade de chambre allait arrivé demain et Misse Kurt avait déjà débarrassé la chambre de toute trace de Charles à par ses disques donner par d'ancien orphelin et ses livres sur Hamlet voler sur des étales en ville.

Plus jamais je ne reverrais Charles...

»

Ça vous dirait de lire un truc commençant par ça où pas du tout ?! #_#

Quand une yaoiste parleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant