Il y a ton sourire qui s'élève, c'est comme une lueur d'espoir...
-SaezHermione
Les lumières dansaient devant mes yeux de nombreuses personnes s'amusaient sur la piste de danse des filles un peu pompettes rigolaient à gorge déployées et des garçons faisaient des paris grotesques au fond de la salle. Je croisais de nombreux couples, de nombreuses têtes familières, de nombreux amis. Huit heures sonna et Drago serra ma main plus ford. Je n'avais rien dit à personne car nous étions piégé j'avais essayé de sortir à de nombreuses reprises mais cela était impossible, et Drago n'avait pas réussi à transplané. On était donc tous piégé. Alors au lieu de faire peur à tout le monde, je voulais qu'ils s'amusent avant que le massacre commence, et il commença.
Les sorts pleuvaient de toutes pars, je ne savais pas contre qui je me battais je me contentais de rester en vie. J'étais serré contre Drago derrière un petit canapé déchiré. On était là depuis peut-être dix minutes à entendre les cris et voir les corps tombés à terre. J'étais terrifié.
[....]
Du sang...
Encore du sang, qui coule, sa bouche entrouverte, ses yeux vert, sans vie...
Rouge, tout est rouge..
Mes oreilles bourdonnent...ma tête...ma tête...elle...[...]
Je sentis quelqu'un me prendre dans ses bras mon corps bouger et se reposer contre le sol.
Reprenant difficilement conscience de là où je me trouvais, je finis au bout de plusieurs minutes par reprendre possession de mes moyens.
[...]
Drago me regarda intensément et je compris ce qu'il contait faire, on ce leva tous les deux en même temps comme synchronisé, et on entra de nouveau dans la bataille. Je nous protégeait et parais les doloris et autres sorts interdits pendant que lui s'employait à tué toutes les personnes portant une cape noir.
Nous étions tous les deux là, ensemble et je n'aurais rien trouvé de plus beau et de plus douloureux. De nombreuses personnes étaient mortes, ou était en train de mourir, ils ne restait plus beaucoup de combattants de notre côté. Je commençais à faiblir et Drago aussi, il avait le dos légèrement courbé et l'avant bras coupé par une longue entaille.
On pouvait dire ce que l'on voulait de lui, mais il était là debout à ce battre. Aussi folle qu'était cette pensée, je me disais que Drago Malfoy était courageux. Bien plus que certains Gryffondor caché de part et d'autres. Bien plus que moi qui était terrifié à l'idée de combattre de nouveau. Il ne ce battait pas avec force, il ce battait avec fierté et une certaine élégance comme s'il avait fait ca toute sa vie. Il l'avait sûrement fait, il l'avait toujours fait, mais moi, considérée comme intelligente je n'avais pas su voir derrière le masque impassible derrière lesquels il se cachait. Je n'avais jamais vraiment saisit qui il était. Même si selon lui les couples avait été truqué même si nous étions incompatibles. Je ne m'étais jamais senti aussi proche de lui qu'à présent. Je ne m'étais jamais sentie aussi vivante qu'au moment où la mort me frôlait de toute part. J'étais avec lui, il était avec moi et c'est tout ce qui comptait à ce moment précis.Mes jambes lâchèrent et je n'en compris tout d'abord pas la raison. Puis je la sentie, la douleur. Elle s'insinua en moi doucement prenant possession de tout mon être avant d'éclater. Je brûlais, je sentais tous, mes veines gonflait de mon sang bouillant, mes poumons se privait d'air, et mes os craquaient de toute pars. Mes oreilles sifflaient, je n'entendait rien d'autre qu'un brouhaha incéssent...devenu muet au bout d'un moment, ma tête me tournait je ne savais plus où je me trouvais ni avec qui, j'étais privée de la vue, de l'ouïe et de mes sensations. Le plus dure fut de ne rien voir, je ne savais pas où était mes ennemis, d'où ils allaient m'attaquer je ne savais pas ce qui ce trouvais autour de moi. Je ne controlais rien. J'étais dépossédé de mon droit de vivre.
La douleur encore là, quand je puis de nouveau voir tout éclata, la lumière les sons, ma jambe droite formait un angle bizarre et contre nature, du sang coulait de mes oreilles. Ma robe était tachée et calcinée par endroit. Drago était agenouillé près de moi et me parlais sans cesse mais je ne comprenais rien, rien du tout, tous se mélangeait les mots n'avait plus de sens, ni de couleur, je voyais seulement ses lèvres bougés.Puisque tout est aléatoire dans le chaos des univers,
Puisque insoluble est la réponse et que déjà me manque l'air...Les larmes coulaient le long de mes joues et je ne pouvais pas les arrêtées, je n'y arrivait pas, je ne le voulais même pas. C'était des larmes de désespoirs, mais pas que. Enfin je comprenais ce qui ne m'étais jamais venu à l'idée avant. Je compris qu'une seul chose était importante pour moi. C'était ridicule, fou, insensé. Mais au fond de moi je le savais. Je ne voulais pas savoir. Mais Oui ! Je l'aimais peut-être, un amour étrange. Mais toute ma vie, m'avait menée à cet instant précis dans ses bras. Lui essayant vainement de racheter ses tords et moi ne sachant pas si vivre était si bien que ca. Je l'aime... je ne sais pas si c'est bien où mal...c'est plutôt drôle même, que je me rende compte de ca au moment de mourir. Mais si je suis folle d'une chose c'est de ses yeux gris-bleu qui me fixent inquiet, de ses cheveux blond fou sur sa tête, de ses lèvres qui me parlent sans cesse, de son sourire qui a déserté son visage. J'aime Drago...
Mais qu'importe les directions, jusqu'au bout de la limite...
Tous les chemins mènent à tes yeux, tous les chemins mènent à la fuite...Là en plein champs de bataille, au milieu des morts et des blessés, où la vie cède sa place à la mort. Au milieu des bons comme des méchants je le vois Lui. Personne d'autre je ne sais pas s'il pense la même chose, je ne le saurais peut-être jamais. J'ai perdu mon futur, oui, mais pas mon présent pas ma façon de mourir.
Rien ne desserrera nos mains, rien n'éteindra l'éphémère...
Nous forceront, nous forceront le destin...On ce regarda l'espace d'une minute, peut-être deux, ou bien trois, assez longtemps pour que sa main prène la mienne et la serre fort, assez fort pour me tirer mes dernières larmes.
Il y a ton sourire qui s'élève c'est comme une lueur d'espoir,
Il y a l'ombre et la lumière, au milieu de notre trajectoire...Je détournais mes yeux des siens, et un mouvement de panique m'envahis quand la capuche noir d'une femme tomba, la capuche de cette femme.
Une femme au cheveux noir, au yeux sombre et au sourire sadique. Je vis le rayons vert quitté sa baguette, et mon corps réagis sans réfléchir, je renversais Drago à terre et me pris l'éclair lumineux, ca ne fit pas mal, ca avait le goût de cendre et fouettait comme un courant d'air gelé zébrant ma peau blanche de rayure rosé.Fallais choisir une route
Alors on a choisi la pluie ...Drago fut sûr moi, prenant mon visage entre ses mains , secouant mon corps glacé, le secouant encore et encore, comme une poupée, un pantin...
-Je t'aime Drago...
Ce fut tout ce que je réussi à dire, tout ce qu'il fallait dire. Je n'entendis plus rien, le noir m'envahit entièrement et je ne m'étais jamais sentie aussi seul...
Externe
Le visage de Drago devînt froid quand il compris qu'elle était morte il arrêta, il cessa de la secoué essayant vainement de la ramené, il savait qu'il l'avait perdue, encore une fois il avait détruit la vie de quelqu'un...Il ne voulait plus ce battre il ne voulait plus vivre si c'était pour souffrir encore... Ce feu qui brûlait en lui avant, lui avait permis de survivre, aujourd'hui il le consumait tout entier. L'Amour est le pire tourment que l'on peut infligé à l'âme, la pire maladie, elle nous emprisonne, empoisonne, n'a aucune pitié. Elle joue, avec nous et elle finit par nous détruire. Hermione avait détruit Drago et il ne s'en remettrait jamais.
Il leva un regard vide sur le monde qui l'entourait, ce monde de cendre et de sang, son sang à elle, elle qui ne reviendrait pas. Il serra fort sa baguette dans sa main, dans l'autre il tenait, comme soudé celle d'Hermione. Il leva lentement sa baguette, son bras tremblais, mais il avait pris sa décision. Il ferma les yeux au moment où un homme entrait dans la pièce. Trop tard, il tomba contre le sol souillé de sang, au côté de la femme qu'il aimait.
Lucius ce fraya un chemin jusqu'au corps de son fils, il ne comprenait pas, il ne comprenait pas pourquoi il c'était suicidé, pourquoi il c'était suicidé pour une femme. Pour cette femme. Leur famille aurait été enfin réuni. Il venait de perdre son fils unique. Pour la première fois Lucius pleura, si l'on peut appelé cela pleuré, une larme, une seul coula le long de sa joue.
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Incompatibles
FanfictionDramione Après la guerre, tous les survivants sont conviés à une fête où tous les jeunes célibataires seront obligés de ce marié d'après un test de comptabilité, qui pourrait leur être fatal...