Under My Head - Larry Stylinson

Chapitre Dix.

Quelqu'un s'amuse à me donner de petites gifles pendant que je dors, je me réveil petit à petit et je commence à entendre ce qu'il se passe autour de moi.

"L ? Au putain je t'en supplie réveille toi ! Dépêche toi !! Aller..." Je reconnaît la voix de Liam légèrement paniqué, alors qu'il continu à me giflé. Je rassemble toutes mes force pour lui demander d'arrêter.

"Tu veux bien arrêter ça... S'il te plait ?" Ma voix est pâteuse et lointaine. J'ouvre doucement les yeux mais seul un décide de s'ouvrir et la lumière m'aveugle. Liam arrête immédiatement. Je remarque que je suis dans ma chambre, allongé sur le canapé du salon.

"Oh ! Dieu soit loué !!" Liam souffle et ferme les yeux quelques secondes. "Tu m'as fait peur !"

"Qu'est-ce qu'il s'est passé... ?" J'essaie de me redresser mais un énorme mal de crâne s'installe soudainement et je me laisse retomber en jurant et en poussant un gémissement de douleur.

"Reste allongé pour le moment, tu as pris un sacré coup." Je fronce les sourcils et Liam me tend un petit miroir. Je l'attrape et j'écarquille les yeux -enfin mon yeux- en voyant mon reflet. J'ai un énorme cocard rouge violet qui envahi tout le tour de mon yeux droit, et mon arcade pété qui saigne encore peu.

"Au putain... Mais qu'est-ce qu'il s'est passé, merde ?" Liam se mord la lèvres du bas et détourne le regard.

"Je suis désolé... C'est plus ou moins de ma faute... Je n'aurais pas du t'emmèner dans cette foule de mecs plus dangereux les un des autres, mais sur le coup je n'ai pas réfléchis, dès que j'ai vu les flammes, j'ai su que mon... ami, était en danger... Et quand j'étais entrain de lui parler, un détenu que son garde n'avait pas réussit à immobiliser t'a mis son poing dans la gueule alors que tu regardé ailleurs... Je me suis tout de suite précipité sur toi, mais tu étais évanoui, alors j'ai dis au revoir à mon ami, je t'es porté pour t'amener ici et quand les gardes on demandé ce que tu avais, je leur est dis qu'il y avait trop de gens autour de toi et que donc, tu t'es évanoui..." Je sursaute quand il pose un sachet congelé sur mon œil. "Je suis vraiment désolé parce que je sais que c'était de ma faute... Je t'en supplie, ne dis pas à Des ce qu'il s'est vraiment passé, je perdrais mon boulot que j'ai tant eu de mal à obtenir... Il a dit qu'à la prochaine fois, ça sera la fin, et toi et moi on sait qu'il ne va pas simplement me mettre à la porte, mais qu'il va aussi me faire disparaître... Je suis vraiment désolé ! Je ne laisserais plus jamais ça arriver, je te le jure-" Je le coupe dans sa mini crise de panique.