Un Noël Citronné

Yaoi (^w^)

Mm photOPersonnages : Mathias, Vincent (esclaves de nos désirs) ;3

Âge : 23 ans dans ce one shot

[Cinq ans après que Vincent ait sauvé Mathias au marché noir et deux ans après leur mariage]

Je prends ses mains dans les miennes en riant.

Vincent et moi avons quitté le manoir de son père pour une maison plus tranquille. Alice avait été décrété cuisinière du manoir de son nouveau maitre.

Vincent me regardais avec un sourire et me suivit à travers les flocons. Je lui fit fermer les yeux et l'amena vers un grand sapin décoré par les enfants de l'orphelinat.

Il fut d'abord surpris et tourna son regard vers moi. Je lui offrit un sourire rayonnant en me mettant devant le sapin les bras écarté.

- Ça te dis un bébé ?

Vincent ouvrit grand les yeux et la bouche stupéfait.

- Je... Euh... Qu... quoi ???

Vincent

Mathias avait l'air comblé et ses yeux pétillait. Je ne pouvais pas lui dire non quand il me faisait cette tête... Je mis une main dans mes cheveux.

- C'est d'accord.

Il ouvrit ses bras encore plus grand pour me faire un câlin et partie en courant vers la propriétaire de l'orphelinat. Je lui prit rapidement le bras avant qu'il ne s'enfuit.

- On reviendra demain, c'est a moi de te donner un cadeau.

Il leva un sourcil surpris avant de rougir. Il détourna la tête en souriant et me suivit jusqu'à notre maison.

Tout avait été dévoré pour cette fête qu'il chérissait tant. Il leva les yeux vers le sapin au centre du salon en riant d'excitation. Je lui fait levé la tête sur une branche de gui.

- J'ai toujours voulus embrasser quelqu'un sous un gui...

Il rit et prit ma tête dans ses main en coupe. Je le fis monté sur moi afin qu'il soit à ma taille et il enroula ses jambes autour de ma taille. Notre baisser était chaste, sans arrière pensée . Je mis lentement fin au baiser pour pouvoir mieux voir son visage rougit par le manque d'oxygène.

- Faisant le, lâcha il en se serrant contre moi.

Une flamme d'excitation s'allume en moi et je nous revois le faisant pour la première fois dans mon ancienne chambre. Nous étions jeun et inexpérimenté en la matière. Nos gestes étaient timide et nos yeux ne se croisaient jamais longtemps.

Je m' assis sur le lit avec toujours Mathias sur mes jambes. Il s'assit de telle sorte, qu'il soit pile au déçus de mon érection. Je ris en voyant qu'il essayait d'être entreprenant.

- Laisse moi faire, me susurre il confiant.

S'en était fini du pauvre esclave dominé, ça se voyait qu'il voulait échangé les rôles.

Je me déshabille afin de lui facilité la tache et il en fit de même. Ils ne nous restaient que nos boxers pour séparé mon membre de ses petite fesses rebondit. Je lui pris les hanches mais il me dégage.

- Th th th, laisse moi faire.

Il déposa un baiser sur mes lèvres avant de descendre embrassé mon boxer. Je me mords l'index pour ne pas gémir. Il était vachement sexy comme ça. Je le sentais enlevé mon boxer et il embrassa ma verge avec envie.

Il joua un peut avec avant de remonté m' embrassé. Il descendit lui même son fin tissu et se prépara seul à mon intrusion. Sans trop crié gare, il s' empala sur moi dans un cri d'aise.

Je rougit intégralement devant ses gestes. Il était serré et sexy. Il prit mes mains dans les siennes afin de se soutenir et commença des mouvements lent de haut en bas. Trop lent, trop droit. Pris d'une envie de vitesse, j' échange nos rôle dans un coup de hanches.

Il me regarda les larmes aux yeux et les joues coloré.

Je le prends par les hanches pour le pénétrer plus profondément. Je sentais sa prostate et il se cambra. Plusieurs mortellement plus tard, je le sentais venir et j'accepte de faire des coups plus rapide, plus précis afin de toucher son point sensible.

{Plus tard}

Mathias me regardait boudeur.

- Je t'avais dis de me laisser faire !

- Désolé, dis je en mettant ma tête dans son épaule. Mais tu m'as excité aussi.

Il gonfle les joues pour montrer qu'il boudait.

- Si tu veux, on peut aller à l' orphelinat.

Il se leva d'un coup avant de retombé par terre à quatre pattes.

- Je... je peux pas marcher...

Sans même le prévoir, j' éclate de rire en me prenant le ventre. Il m' envoya un oreiller en pleine tête avant de me demander de l'aide pour se levé.

Une fois arrivé à l' orphelinat, il marchait à peut près normalement bien qu'il grimaçait à chaque pas.

- Allez vous bien monsieur ?

- O- oui, je me suis fouler la cheville en sortant de chez moi.

Quelque minutes et paperasse après, Mathias tenait dans ses bras une petite fille d'une dizaine de mois.

- Comment elle s'appelle ?, demandais je afin de taquiner mon mari.

- Mhhhhh...

- Répète j'ai pas compris.

- Alice...

On avait choisi Après plusieurs minutes de donner à la jeun enfant le nom de mon ancienne femme de compagnie et meilleure amie.

En rentrant chez nous, on trouva ma dite meilleure amie assise sur le porche.

- Ohhh, elle prit la main du bébé entre ses doigts. Comment s'appelle se petit trésor ?

- A... Alice, dis Mathias en balbutiant.

Elle rie avant de prendre l'enfant dans ses bras.

- Après avoir été vendu au marché noir, mon maître m'a rendu ma liberté et je suis actuellement cuisinière dans un restaurant.

- On dirait que l'on a tous trouvé une vie normale, loin du marché.

L'on discuta un peut ensemble du bon vieux temps jusqu'à se que Mathias dus changé la petites.

- C'est un super cadeau de noël qu'il t'as faits, me murmura elle à l'oreille.

- Oui. Il m'a offert un famille...