Ame Soeur Malgrés Elle

Chapitre 18

Chapitre 18 :
PdV William :

A ces mots tout mon corps se tend. Un milliards de questions se bousculent dans mon esprit tel un tourbillon insensée. Comment est ce qu'il a connu mes parents ? Pourquoi a t il peur ? Que sait il ? Sont ils toujours vivant ?

- Comment ça je ressemble à mes parents ? Vous les avez connu ?
Je demande en retrouvant l'usage des mes cordes vocales.

Il avale sa salive en reculant dans un coin de la pièce.

- Oui je les connais.

Hein ? Il les connaît ? Ne devrait il pas plutôt dire qu'il les connaissaient ? C'est du passé non ?

- Comment ça tu les connaît ? Ils sont morts !

Un petit rire filtra entre ses lèvres.

- Ils sont tous sauf mort !

L'entité que forme mes muscles se figent. Ils sont vivant alors ?

- Explique toi !

- Ce sont eux qui m'ont kidnappés et fait enfermé dans mon propre esprit ! Ce sont des monstre ! Des Renégats assoiffé de pouvoir !

- Non tu mens ! Hurlait je

Je connais mes parents merde ! Je sais que jamais ils ne feraient de mal à un innocent ! Ce ne sont pas des ignobles Renégates.

- J'aimerais bien mais malheureusement c'est la triste vérité. Dit il d'un ton sinistre.

Je refuse d'écouter une seconde de plus ces conneries. Je pars en courant et sort de cette endroit maudit. J'accèlère encore atteignant les limites de ma vitesse sous ma forme humaine. Mon loup est furieux, le calme dont il faisait preuve quelque heures avant se trouvant à des années lumière de son état actuel.

Arrivé à la lisière des bois je laisse la bête prendre le contrôle et déchiré mes vêtements en lambeaux lorsque il se métamorphose.
Le vent glaciale foutent mon pelage noir comme de l'encre qui devient bientôt blanc avec toute la neige qui tombe. La boule de rage que je suis devenu se défoule sur les arbres et les pauvres petits animaux qui se baladait dans la forêt.

La température a beaucoup chuté depuis notre départ de l'hôpital et je tente de faire comprendre à mon loup que l'on doit rentrer. Celui ci refuse d'entre raison ou bien de répondre au appel télépathique de la meute. Un loup peut supporter des température plus basse que les autres Surnaturel ou humain. Cependant il y a une limite à chaque chose et nous l'avons atteinte depuis bien longtemps. Piégé à l'intérieur de mon subconscient je ne peux rien faire d'autre que voir notre température interne chutait dangereusement.

Le temps passe et je me sens glissait lentement dans l'inconscience.

PdV Astrid:

Je suis en train de glousser avec mes amies lorsque les bêtas et deltas de la meute font irruption dans la pièce. Mes sens psychiques rentre en état d'alerte et m'informe d'une mauvaise nouvelle à venir.

- Luna ,dit l'un des deltas , l' Alpha est quelque part dans la forêt et refuse de répondre à nos appel. Les températures sont très basses et à ce rythme là il va bientôt faire une hypothermie.

Mon coeur manqua un battements. Je n'avais rien sentis à travers le lien ! Si seulement j'avais était une louve ! J'aurais pu sentir sa détresse mais en plus j'aurais pu lui faire entendre raison par télépathie !

- On pensait que tu pourrais nous aider à le trouver grâce à votre lien. Pas besoin d'être une louve, ajouta il , il te suffit de laisser le lien te guider.

Je hochais la tête et fermais les yeux en me concentrant avec toute ma force. Enfouie dans mon esprit se trouvait une sorte de fil qui me reliait à Will. Il semblait me tirer comme une laisse vers ma moitié. Dans un état second, je suivis le chemin que me montrer ce lien et me retrouvais dans ma forêt enneigée. Le froid ne semblait pas m'atteindre. Je sentis tout de même une personne me mettre un manteau sur les épaules.

On marcha pendant environ une heure. On finit par arrivée dans une clairière semblable à une toundra de Russie tant elle était blanchis par la neige. Mes yeux tombèrent sur une forme noire étendus par terre. Mon loup ! J'accourus vers lui, paniquée de son manque de réaction.

Je tombais à genoux devant lui et l'entourait de mes bras en le couvrant de mon manteaux. Ses os craquèrent et il se retransforma en humain nu devant moi. Mon dieux sa peau était congelée !

Les hommes le portèrent et coururent en vitesse vers la maison. Le retours fut beaucoup plus rapide. J'arrivais dans la villa bien après eux et grimpait les escaliers, sentant que mon âme soeur était à l'étage.

J'ouvrais la porte de ma chambre à la volé et vis William étendus sous les couvertures du lit. Mon coeur se brisa en un milliers de morceaux en le voyant aussi faible et vulnérable.

- Bon il est hors de danger maintenant. On la plongé dans un bain brûlant puis on l'a séché et habillé. Le médecin passera dans une heure. D'ici là, je te conseil de rester avec lui pour surveillé son état.

J'entendais à peine la voix de Grey et filait rejoindre ma moitié.