Chapitre 1

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Aujourd'hui est encore une journée normale, une journée comme les autres. Comme au chaque matin, je me lève de mon lit à 6:30 pour me permettre de me préparer pour aller travailler. Je travail en ce moment dans un laboratoire  pour me permettre de rester dans le domaine des sciences en attendant la fin de ma 3ième année d'université. Je commence un heure de travail vers 9:00 et je termine d'amabilité vers 18:00. J'aime vraiment ce que je fais. Je travail depuis maintenant mes 17 ans dans ce laboratoire. Depuis la tragédie. Je travail au laboratoire jusqu'à ma rentrée qui se veut depuis que je suis à l'université de Montréal vers la mi-août. Je travail tout de même durant mon année scolaire, mais je fais la moitié de mes heures d'été.

J'arrive au laboratoire avec une bonne demi-heure. Je d 'code donc d'arrêter à la petite boulangerie qui se situe au coin de la rue où je travail. Lorsque je rentre, j'aperçois la ligne de gens qui attendent pour être servie. Sachant que j'ai le temps devant moi, je décide de rester et d'attendre mon tour. Je dois attendre un bon 15 minutes en ligne. Lorsque j'attends enfin la caissière, celle-ci m'adresse un léger signe signifiant sa compréhension de mon attitude qui dois forcément se faire voir.

- Bonjour, je prendrai un café au lait avec crème fouetté et un croissant au beurre pour emporter s'il vous plaît.
- Bien, ça vous fera 5,45$. Allez attendre là-bas, me dit-elle en me désignant de son doigt extrêmement bien manucuré.

J'attendais encore un bon 5 minutes pour recevoir ma commande. Décidément, ce n'était vraiment pas ma journée. Au moment où je reçois ma commande, quelqu'un de stupide, (voyez ma gentillesse ici) m'a brusquement poussé. Je me vis donc, au ralentit, foncer dans le garçon qui m'apportait ma commande. Je suis sûre que vous savez déjà ce qui s'est passée, mais je vais vous le dire quand même. Comme ça, ça me permettra peut être de faire évacuer une certaine partie de ma colère. Je m'étalais donc de tout mon corps sur lui, nous obligeant donc de nous étaler au sol devant tout le monde. Nous fûmes donc tout les deux couverts de croissant, ce qui n'était pas si grave après tout si on oubliait le fait que nous étions complètement recouvert de café brûlant.  Il m'offre donc de le suivre dans l'arrière du restaurant pour me permettre de m'essuyer le plus que je pouvais. Il s'excusa en bégayant, comme un pauvre idiot. Il me demanda mon prénom et sourit. Il sortit un tee-shirt de rechange, et m'indiqua une petite pièce toute bonnement décorée. Lorsque j'eue fini de me changer, le garçon n'était plus là... Disparu...


Je me souviendraiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant