Le sang se propage
À mesure que la colère fait rage
Faisant bien plus de victimes que j'attendais
Ils surgissent un par un, criant leurs douleurs infâmes
Ruisselant sur leurs peaux
Les gouttes amères de l'enfer
Vécu après les temps prospères
Même leurs ombres disparaissent
Terrifiée, tétanisée
À l'idée de perdre
La seule chose qui leur reste
Leurs dignités
Ils courent, courent sans relâche essoufflés, dépité ils continuent de courir sans savoir où aller car au fond ils savent qu'ils sont piégés
Prisonniers, séquestré de leurs propres esprits qui ont mal tourné