Chapitre 2

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« Dîtes Capitaine Hitsugaya pouvez-vous me dire comment vous connaissiez Aoi ?, questionne posément Ichigo. »



Abasourdis, tout le monde le regarder avec des yeux ronds. C'était la première fois qu'il montrait un signe de respect pour le Capitaine Hitsugaya.



« Eh bien euh... le Professeur Aoi est la professeure de tous les capitaines, le capitaine-commandant inclus, malgré son jeune âge sa puissance est si forte qu'elle peut facilement prendre dessus sur le capitaine-commandant. Le gotei 13 sauf le capitaine-commandant l'ont rencontré très récemment.



-Quoi...quoi ma sœur battre le vieux Yama-jii, impossible, balbutie Ichigo, sidéré



-Hé... oui mais c'est plutôt confidentiel je ne peux vous en dire plus, chuchote-t-il un mince sourire au lèvre. Il se retourne pour sortir de la chambre d'Ichigo et lance un faible « À plus » mais alors qu'il allait sortir on l'interpella encore.



- Où est-ce que tu vas comme sa ?, s'intéresse Ichigo



-Je vais...Non mais de quoi je me mêle, sa ne vous concerne pas, crie-t-il embarrassé »



Rukia et Rangiku ayant comprit, commencèrent à pouffer de l'embarras du capitaine.



« Capitaine saluez-la de ma part, taquine Rangiku en lui envoyant un clin d'œil.



- Matsumoto, hurle-t-il pour réponse »



Rukia et Rangiku n'y tenant plus éclatèrent de rire, jusqu'à en avoir mal au côte.



« Bah qu'est ce que vous avez à rire comme ça, demande Ichigo avec une tête de petit chien ahuri



-Tu crois qu'elles ont développés une maladie qui touche que les femmes ?, s'inquiète Renji »



-Vous êtes vraiment aveugle, s'esclaffe-t-elle encore. Elle se retourne vers Rangiku et lui demande :



« Que dirais-tu d'aller dans les bains du soir ?



-Avec plaisir, sourit-elle.



Elles s'apprêtaient à partir quand Ichigo l'arrête avec un petit sourire coquin:



« Je peux vous accompagner ?



-Abruti, ne bouge pas d'ici, taquine-t-elle, tu risques de te perdre !



-Bien bien... mais attend tu as oublié de me donner quelque chose, tenta-t-il de dire pour ne pas la laisser partir.



- Au revoir mon chéri, dit-elle en lui baisant doucement la joue.



-Bye bye, murmure-t-il un sourire rêveur aux lèvres.



-Tu es pitoyable, crache Renji un sourire moqueur scotché au visage.





Un peu plus loin, Toshiro était en train de courir vers une destination précise.

J'ai pus courir comme j'ai pus, on devait se rejoindre au terrain de foot. À enfin j'y suis, je crois que je suis en avance.



« Tu es en retard, lance une voix inconnue.



-Excuse- moi Karin des problèmes en cours de route, marmonne-t-il essoufflé.



-Tu aurais pu me dire que mon frère et toi aviez une "réunion ",raille-t-elle, Alors qu'est ce que tu voulais me dire ? »



Je ne l'avais pas remarquer mais qu'est-ce qu'elle est belle avec sa belle robe corail d'été, Karin a tellement changer au fil des années, heureusement elle joue toujours au foot :



« -Pourquoi me fixes-tu ?, souffle-t-elle.



-Désolé... tu es ravissante, prononce-t-il pas le moins du monde embarrassé.



-Merci, murmure-t-elle gêné du compliment.



-Je t'en prie !, il prie une inspiration et demande d'une traite, est-ce que tu veux bien dîner avec moi ?



- Oui, s'écrie-t-elle, mais d'abord j'ai une surprise pour toi, suis-moi !



-Je te suis, dit-il perplexe. »



Elle lui prit la main et se mit en tête de la marche.

Sa main est si douce, si rougir faisait parti de mes expressions faciales je le ferai, mais qu'est ce que vous voulez que je vous dises, je l'aime... On est enfin arrivés. C'est le lieu où on s'est aperçues pour la première fois:



« Nous sommes arrivés à temps, s'essouffle-t-elle.

-Pour ?, s'informe-t-il



-Les feux d'artifices, s'extasie-t-elle au moment même où ils sortaient.



-Magnifique, souffle-t-il en lui reprenant sa main.



-Que fais-tu... ?, bredouille-t-elle »



Elle n'a même pas eu le temps de dire un mot de plus que leur lèvres se sellèrent en un chaste baiser, au début Karin stupéfaite ne bougea pas d'un muscle quelques secondes s'écoulèrent avant qu'elle ne réponde au baiser pour le rendre plus passionné. En manque d'air, ils se séparèrent à contre cœur.



« Karin, je t'aime, s'exclame-t-il tout fière



-Toshiro... je crois que je t'aime aussi, répond-elle tout aussi joyeuse.



-Karin... euh, elle le fit taire en l'embrassant à pleine bouche.



-Ne dit rien pour le moment, supplie-t-elle alors qu'elle lui mordait sa lèvre inférieur.



-Et...et ton frère, l'interroge Toshiro quelque peu décontenancé par son avidité et son désir.



-Mon frère on ne s'en préoccupe pas pour le moment, je serai bientôt majeure, il n'as le droit de me dire quoi faire, rétorque-t-elle, tu veux me raccompagner ?



-Bien sûr, consent-il.



Ils marchent en se tenant la main et se jetant des coups d'œil amoureux, quelques minutes après ils arrivèrent au seuil de la porte.





« Je dois y aller, je viens te chercher demain à 19 heures, il allait sortir quand Karin le retient en lui prenant son avant-bras.



-Je veux un bisou, exige-t-elle



-Qu'un seul bisou ?, demande-t-il moqueusement, bon si tu veux, il lui embrasse la joue et finit par sa bouche où il lui dépose un baiser timide mais rempli de l'amour qu'il pouvait lui porter, Au revoir ! »



Pendant que Karin et Toshiro ce déclare, Aoi se morfonde chez elle.

J'ai failli a ma mission je n'aurai pas dû trop les approcher, maintenant je dois contacter Genryusai.

La machine de télécommunication relier au Seireitei s'active en faisait un plus épouvantable.



« Bonsoir Capitaine Genryusai, dit-elle d'une voix où sa nervosité n'était pas perceptible.



-Bonsoir Professeur Aoi, répond-il d'une manière autoritaire.



-J'ai manquer à ce que vous m'aviez demander, le capitaine Hitsugaya ma reconnue et Ichigo lui a sûrement dit que j'étais sa sœur, affirme-t-elle d'une voix ferme.



-Bien... Je vous prie de venir immédiatement à la Soul Society, nous dirons la semaine prochaine à touts les capitaines qui vous êtes vraiment, se résolut-il.



-Sa ne vous dérange pas que je vienne dans une semaine, demain nous sommes Lundi et je recommence le travail, je ne pourrais me libérer que Samedi prochain.



-Oui, sans aucun soucis, vous pouviez continuez le deuxième plan dans ce cas, mais avant tout, comment vous sentez-vous ?, s'inquiet-il



-Ne vous inquiété point, je me porte bien, rétorque-t-elle calmement.



-Je vous souhaite une bonne soirée Professeur, dit-il.



-Merci, à vous aussi Capitaine, remercia-t-elle poliment.



La machine de télécommunication s'éteignit dans une chanson d'enfant dans son berceau. Distraitement, elle prit son téléphone et composa un numéro.



« Bonsoir Papa je viendrais demain pour le déjeuner, sa ne te dérange pas ?



-Bien sur que non ma fille, nous t'attendrons avec impatience !, s'exclame-t-il joyeusement.



-Merci Papa, à demain, murmure-t-elle. Fatiguée et lasse, elle s'endormit sans même se changer.



Dans un lieu lointain, des têtes inconnues conversaient sur de fâcheux sujets.



« Eh bien, eh bien, je vois que Mademoiselle Aoi Kurosaki fera bientôt parti de notre clan, ricane une voix



-Espérons-le, répond une autre. »



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⏰ Dernière mise à jour : Jan 02, 2016 ⏰

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