J'avais tellement peur que je sentais mon cœur battre comme si j'avais mon oreille collée à ma poitrine.je ne savais pas pourquoi, mais j'avais un pressentiment d'horreur. je descendis et vit le garçon au couteau. Et tout me revient : le garçon au couteau, c'était Alain !!!! Je venais de m'en rendre compte !!!! C'était aussi lui le premier à m'avoir dit que j'étais de trop et qu'il fallait que je parte (un des premiers chapitres).
- A-Alain ?? Mais qu'est-ce que tu fais là ??
Il me regarda de la même façon que dans la cour de l'école. Avec ce sourire jusqu'aux oreilles, ces grands yeux qui me fixaient et, pour finir, cette tête un peu penchée sur le côté. Un frisson me parcouru le dos pendant qu' Alain s'avançait vers moi avec son couteau au bout rouge de sang. Je courus dans ma chambre et la ferma à clé. J'entendis Alain qui montais les escaliers, puis tapa sur la porte et je couru m'enfiler sous mon lit. Alain défonça la porte. J'avais super peur. Mes parents n'étaient pas encore rentrés. Alain me prit par le poignet et me tira en dehors du lit. Je me décida :
- Alain, pourquoi tu es ici ? N'oublie pas que tu viens de briser la vitre de chez moi et que tu viens de rentrer dedans pour me terroriser !!
- Je ne veux pas te terroriser Alice, c'est juste que quand je t'ai proposé : Soit tu dégages, soit c'est ta fin, tu m'as répondu : Non, je ne vais pas dégager, alors ce sera ta fin, ma foie, je ne peux rien y faire. J'avais peur.
- Mais pourquoi je devrais dégager ?
- Parce que tu es de trop dans cette ville !!
Je ne savais pas quoi faire, terrorisée par ces paroles angoissantes.
- Et pourquoi je suis de trop dans cette ville, Alain ?
- ...
Il ne me répondit pas, comme si il ne savais pas pourquoi. Il me prit par le T-shirt et me poussa contre le mur.il m'ait sont couteau à quelques millimètres de ma poitrine :
- Dit adieu à ta vie, Alice !!
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Ma fin est proche, je le sens...
TerrorSalut, je m'appelle Alice et j'ai 8 ans, je viens d'emménager dans une nouvelle ville. Les habitants ne sont pas très sympas. Ils sont bizarres, plutôt louches...