Il me tira pars le bras et je me laissai faire, on monta jusqu'à chez moi retrouvé Ayoub et Nassima. Ils nous attendaient sur le canapé. Ils fumaient encore.
Ça ne me dérangé pas, j'avais l'habitude de cette odeur avec ma soeur qui fumait dedans.
Yanis: Ça va aller *se toune vers moi*, va te couché si tu veux.
Moi: Ouais... ouais je vais dormir, faites ce que vous voulez. À demain.
LENDEMAIN 7H30
.......: Réveille toi, debouuuut!
Qui est l'emmerdeur(euse) qui vient me réveiller? Je vais pas en cours aujourd'hui. J'ouvre les yeux difficilement et me tourne vers la personne qui me secouer pour me réveiller. Yanis.
Moi: Pire que chiant ce mec.
Yanis rigole et dit
Lui: Mdrrrr lève toi et le mec chiant t'entends alors fais pas la ouf petite.
Je me levai et partis me préparé. Tout le monde avaient déjà prit sa douche et s'étaient préparé il ne rester plus que moi, contre mon gré on prit le bus pour aller au lycée. Deux heures de cours passa, la pause. Nassima, Sihem, Maroua et moi étions avec la clique à Ayoub. Quand tout à coup.
Le directeur: Amina ***** est prié de se rendre dans mon bureau immédiatement. Merci.
Ils me regardèrent en se demandant pourquoi j'étais appelé, Nassima Yanis et Ayoub se doutait pourquoi.
Je toque au bureau du directeur.
Lui: Entre!
Moi: Bonjour, vous vouliez me voir?
Lui: Oui, assied-toi Amina. L'hôpital ******* vient d'appeler, je suis désolé, ta soeur est dans le coma et... et ils ne savent pas si elle se réveillera un jour.
Aucune larme ne vint à mes yeux, c'était pourtant ma soeur, mais rien. Il fut surpris.
Lui: Tu n'es pas obligé de te retenir de pleurer, je te comprendrais tu sais, tu peux rentrer chez toi si tu veux.
Je ris dans ma tête, s'il savait pas que je m'en fichais totalement, cette fille, cette keh c'était ma soeur, berk la hchouma.
Moi: Je veux bien en effet, merci.
Je sortis du bureau, la clique me regarder au loin, Yanis se leva et vint me voir.
Yanis: C'est *baisse la voix*, pour ta soeur? Alors?
Moi: Coma et peut être pour toujours, je rentre chez moi...
Yanis: Tu veux que je vienne?
Ouiiii, parce que là je suis au bout de ma vie, je vais plus avoir aucune famille alors de la compagnie ferai pas de mal.
Moi: Si tu veux.
Je partis à l'arrêt de bus pour prendre le prochain, Yanis était avec moi, yes.
UNE HEURE PLUS TARD
On était chez moi, sur le canapé à regardé la télé quand il attrapa la télécommande et l'éteignit.
Moi: Rallume!
Yanis: Je pensais que tu voulais parler, je sais pas... De ta soeur ou ta famille ou quoi.
Moi: J'ai pas de famille, et c'est pas ma soeur cte hmara.
Yanis: Ah...
Alors que je détesté pleurais surtout devant les gens, je me mis à pleurer comme jamais. Il me prit dans ses bras sans rien dire. Après quelque minutes je m'arrêta, la tête baisser et me confie à lui.
Moi: Mes parents sont morts et elle me mène une vie pas possible j'en peux plus, et ma famille ils ont coupé contact avec nous depuis qu'ils ont apprit que ma soeur était une sale kehba. Quelle joie.
Yanis: T'as bientôt 18ans, dans un mois on est en avril. Tu pourra partir. T'as des potes qui peuvent t'aidaient.
Il s'arrêta, me releva la tête et me sourit.
Lui: Même moi si tu veux.
Moi: Eh comment
Lui: Tu viens habiter chez moi.
Moi: Tes parents tu crois vrai...
Lui: J'en ai pas. J'ai juste mon grand frère, Kamel et ma ptite soeur Farida.
Je ne savais pas quoi dire, il reprit la parole.
Lui: Bref, si tu veux, viens chez moi. T'as un mois pour te décidé t'as le temps je te presse pas tranquille *rigole*
FIN D'APREM, 18H
J'avais passer l'après-midi avec Yanis, on s'entendait super bien. Je voulais aller voir Fatima à l'hôpital. Je lui demander de m'accompagner. Il accepta.
Arriver à l'hôpital, je demande la chambre de Fatima, la femme à l'accueil m'indique où c'est, chambre 203. Arriver devant, Yanis me dit qu'il attends dehors. J'entre dans la chambre doucement en pensant trouver ma soeur dans le coma, seule et je vois.....
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