Chapitre 22

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J'avais passé la journée avec Sarah, Younes aussi était venu me rendre visite.
Sarah s'en va vers 18heure.

18H30

J'étais dans mon lit d'hôpital, quand la porte s'ouvre et je vois Hamza.

Hamza: Prépare toi tu viens avec moi.

Moi: T'es sah là? Non je reste ici

Hamza: Bon dépêche toi parce que là j'ai pas envie dmemboukane avc toi Amina.

Je me prépare en cinq minutes. Hamza avait était chercher mes affaires à l'hôtel. Je me mets en survet. J'avais mal partout mais je disais rien. Je suis Hamza, on monte en give et il démarre sans rien dire.

Moi: On va où?

Hamza: On rentre.

Moi: Maintenant? *souffle*

Hamza: Arrête de faire des manières, ouais on rentre maintenant et alors? Tu vas pas retourner avec Sarah en plus j'ai vu qu'elle a des shab à elle là-bas, c'est des gars en plus.

Moi: Je sais. *froide*

Hamza: Quoi tu sais? Ils t'ont parler c'est ça?

Je répond rien et regarde le paysage. Je reçois un message sur mon portable, je m'aprete à répondre quand Hamza me l'arrache des mains.

Hamza: DONNE MOI ÇA. TU RÉPONDS A MA QUEDTION LA?

Moi: Y en a un qui m'a parler. Mais tranquille.

Hamza ne dit rien, mais je voyais qu'il était très énerver.

LENDEMAIN 10H

Je me lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller Hamza. Je vais chercher à manger à la cuisine et je vais m'assoir sur le canapé regarder la tele.
Je regarder la télé quand j'entendis un portable sonné à côté. Je regarde. C'est le portable de Hamza, un message d'une Nawel.
Je prend le tel, jvais à la chambre et chercher quel doit va déverouiller le tel, je trouve. Je vais dans les messages et regarde le message.
"On se voit cet aprèm bb? Y a personne chez moi..."

Je répond: C'est où chez toi déjà? Quel heure tu veux?

Elle: T srx la bah mm blok que toi, 3eme a gauche arrive dès que tu peux, même mtn si tu veux..

Moi: J'arrive

Il me trompe ce connard, putain et l'autre pute je vais la niqué.
Je supprime les messages et démarre chez elle, je toque elle m'ouvre à moitier à poil.

Nawel: Ah merde je pensais pas tomber sur toi.

Moi: Je vois ça. Sur Hamza peut être?

Nawel: Ça te regarde pas.

Je la pousse et rentre de force. Je l'attrape par les cheveux et la balance au sol je lui donne des coups et m'arrête quand mon tel se mit à sonner.

Hamza: T'ES OÙ? D'OU TU PARS COMME ÇA SANS ME DIRE SALE FOLLE RENTRE DE SUITE.

Moi: Arrête de crier là me rend pas folle ouais. Je rentre quand j'ai fini, t'inquiète.

Hamza: QUOI? FINI QUOI? TU TFOU DMA GUEULE?

Je raccroche. Je vois plus Nawel. Je vais vers sa chambre et j'entends qu'elle est dedans enfermé.

Moi: OUVRE AVANT QUE JNIQUE LA PORTE ET QU'APRÈS JTE NIKE TOI GROSSE CHIENNE

Elle: Dépêche toi de venir elle est taré, mais je sais pas arrête de me crier dessus là.

Moi: T'APPELLE QUI???

Je défonce la porte à force de taper dedans. Je vais vers elle je prend le tel et le balance au sol, il se casse. Je lui prend la tête par les cheveux et lui cogne contre le mur jusqu'à ce qu'elle tombe au sol. Je me mis sur elle, elle essayer de se protéger mais je la cognais encore et encore, jusqu'à ce qu'elle soit inconciente et couverte de son sang. J'entends gueuler mon nom au salon. Une voix d'homme.

.........: AMINA!

Les pas ce dirige vers moi...

Dans la peau de Hamza

Je vais vers la chambre et là je vois Nawel au sol, en sang, inconciente et Amina debout énervé comme jamais. Elle s'en foutais que j'étais zehef, elle arrive vers moi en me poussant.

Amina: TMA TROMPER SALE CHIEN. TOI ET MOI C'EST TERMINER TU ME ZAPPE JE VEUX PLUS JAMAIS TE VOIR OK TU DÉGAGE DE MA VIE JAURAIS JAMAIS DU DIRE OUI A YOUCEF POOUR LUI FAIRE PLAISIR

Donc c'était juste pour faire plaisir à Youcef.

Moi: DONC CETAIT JUSTE POUR TON FRERE ENFAITE TU TEN BAS LES COUILLES DE MOI CEST CA BAH TAS RAISON MAINTENANT ON SE CONNAIT PLUS DEGAGE AVANT QUE JTE REFASSE LE VISAGE SALE HMARA VA

Amina: *me pousse* BAH VAS Y TAPE MOI, TU VAS LE REGRETTER ENCORE UNE FOIS COMME LAUTRE FOIS À L'HOPITAL HEIN JE TAI ENTENDU MAIS VAS Y FRAPPE MOI *rigole*

Je commence à m'énerver, elle m'énervait beaucoup, j'allais la frapper si ça continuer. Elle voyait que j'allais la frappe elle me poussait à bout.

Amina: T UN FATIGUÉ VAS Y DÉGAGE JE MEN VAIS ET SURTOUT ME PARLE PLUS JAMAIS JE MEN PORTERAI MIEUX. *s'arrête et me regarde* Aller moi je décalle. *sourire*

Je la rattrape par le bras et la plaque contre le mur....

La roue tourneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant