Chapitre 2 : Inconnu

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Bon sang que lui arrivait-il ? Ce n'était pas courant pour eux de voir des sirènes avec deux jambes ? Je n'étais pas la première à venir de la terre, non ?

Tout a mes réflexion, je n'entendis pas April revenir, si bien que j'eu un sursaut lorsqu'il posa la main sur mon épaule. Je lui jetais un regard noir dont il ne fit pas attention.

-Allons-y.

Descendant du lit, je le suivi jusqu'à la porte. Il me conduisit à travers les couloirs de pierre et les regards curieux, jusqu'à une grande salle. Au fond, il y avait deux fauteuils majestueux. Assis dessus une femme, ses cheveux bruns retombée en cascade sur ses épaule frêle. Ses yeux bleu me fixée. Je ne les aimées pas. Ils étaient froids. Elle portée une robe bleu violet qui couvrait ses pieds. Sur sa tête se trouver une couronne en or, signifiant son statut. Elle était la reine alors l'homme à coter devait être le roi son mari. Lui contrairement à elle, il avait les cheveux blonds assez courts. Il était musclé. Ça se voyait au travers de sa chemise blanche. Il portait un manteau ouvert, noir. Il portait une couronne lui aussi cependant elle était plus majestueuse, imposante.

April s'inclina devant eux puis s'éloigna. J'avais l'impression d'être aux milieux de curieux, d'être une bête de foire. Pour confirmer le tout un inconnu souleva ma jupe.

-Elle a vraiment des jambes dit-il.

Tout le monde pus admirée ma culotte blanche. La haine s'empara de moi. Une haine dans borne. Je bondis sur lui et le frapper encore et encore.

-Tue le, me dit une voix au fond de moi.

Dans ma frénésie, je continue, je n'ais pas peur de le tuer. En réalité je le veux, enfin je crois. Mes poing devinrent sanglant. On me tire en arrière.

-Ne me toucher pas hurlais-je.

Je ne sentis plus leurs mains, leurs bras autour de moi. Ils avaient été projetés au loin par un jet d'eau qui les retenait pas la gorge. Je fus choqué par leurs regards. Non ce n'est pas mon geste parce qu'ils m'avaient attaqué, je me défendais. Leurs yeux a tous exprimer horreur, surprise, curiosité, méfiance..., ils surveillaient le moindre de mes mouvements.

-Tu n'aurais jamais due exister.

La ferme.

Je... Je ne suis pas un monstre. Je ne suis pas... Secouant la tête, je m'enfuis par la seule issue que je vis, la fenêtre. Il fallait que je m'éloigne. Je ne voulais pas voir leurs regards, ces regards... Non, je ne voulais pas me souvenir. J'atterris sur l'herbe mais je n'arrêter pas ma course et continuée. Un peu plus loin, il y avait une forêt. Mes pieds me faisais mal cependant j'avançais. Les branches meurtrirent mes pieds. Je finis par me cognée contre un torse chaud et muscler. Une sensation étrange m'envahis. Calme, rassurée, tranquille, apaisée, sereine, tous ces sentiments me recouvrir comme lui me serré dans ses bras. Son éteinte se resserra autour de moi. Je ne fis rien pour me dégager. Au contraire, j'attrapais son tee-shirt marron clair. Ses cheveux châtain me bouchèrent la vue. Il avait une odeur de noisette. J'aimais cela. Il posa ses deux mains de chaque coter de mon visage puis me sourit, d'un sourit plein de joie, de bonheur, de chaleur. Mes yeux me piquèrent. Avec ses pouces il sécha mes larmes.

-Je te rencontre enfin. Je t'est attendu pendant si longtemps.

J'ouvris la bouche pour répondre seulement je ne savais pas quoi dire. Ce silence le fit sourire un peu plus et me fit rougir. Ces yeux finirent par se posée sur mes jambes meurtrie.

-Ne bouge pas ordonnât-il.

J'obéis. Il remonta doucement ma jupe jusqu'à mes genoux après qu'il met demander mon consentement d'un regard. Il toucha mes blessures.

-Ça va ce ne sont que des coupures peu profonde mais ta cheville droite est tordue.

Il fit un mouvement puis de la terre remontât et couvrit mes blessures et mes jambes puis il me souleva.

-Ou veux-tu allée ? me demandât-il.

Avant que je ne puisse répondre des gardes apparurent. Il les observa méfiant. Que faire ? Allait-il se battre ?

-Suivez nous ! dit l'un d'eux.

Il m'interrogea du regard. Il me demandait ce que je voulais, ce que nous allions faire.

-Alors Amy, devons-nous nous enfuirent.

Les gardes se rapprochèrent.

-Suivez nous sans faire d'histoire.

-Comment tu connais mon nom ?

-T'attendre ne veut pas dire ne pas faire des recherche pour te trouver. Alors ?

-Alors, j'aimerais bien connaitre ton nom ?

Je savais pertinemment qu'il me demandée ce que je désirais faire mais je voulais savoir qui il était. Ce n'était pas juste.

-William, donc où allons-nous ?

-Enchantée, suivons-les.

Apres tout je mettais enfuie alors que le roi et la reine voulaient me parler et j'avais accessoirement frappé à mort un idiot qui soit dit en passant le mérité. Nous passâmes par le chemin que j'avais pris, si bien que je pus observée un peu plus les alentours. Je le regrettais très vite. En haut, il y avait de l'eau et autour de nous la forêt. Ne voulant pas me rappeler que le ciel et d'eau je me contrée sur l'odeur de William, ses magnifique yeux vert brillant et son beau visage. Nous arrivâmes dans la même salle que tout a l'heure. Rien n'avait changé, si ce n'est l'idiot qui avait des bandages autour de la figure. On attendit, moi toujours dans les bras de William.

-Amélia, qui est cet homme ? Interrogea la reine.

Agacée par son ton froid, je lui répondis sèchement.

-Ça ne vous concerne pas.

-Qui est-il ? Insistât-elle.

-Pourquoi ? Dis-je avant qu'il ne puisse parler.

-Tout ce qui te concerne nous concerne.

Je me doutée de la réponse. Elle ouvrit la bouche. Non, je n'avais pas envie d'entendre ses mots. Je ne voulais pas savoir ce que cela impliquer. Je ne voulais pas connaitre les responsabilités qu'impliquer ses mots. Je ne voulais pas mais ses terribles mots furent exprimés. La vérité éclata.

-Nous somme tes parents.

Amélia (La Fille de l'Eau Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant