chapitre 2

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Samedi 18 Juillet 1885

Je me promenais dans la foire avec mon frère Il faisait très chaud ce jour là. Au bout de cinq minutes mon frère m'interrompit dans ma marche et il me dit :

– Regarde, Édouard !

– Quoi ?

– T'as vu la famille de noble derrière toi

Je me retournai et là, je vis la plus belle fille que je n'avais jamais vu de ma vie et pourtant on m'en avait présenté des tas pour ''un mariage arrangé '' .

– T'as vu la fille Alain ?

– Oui, mais je préfère ma fiancée

– Elle est magnifique par rapport à ta fiancée.

– Je trouve pas.

– Elle est magnifique, je répliquais

– Oui peut être, mais bon t'as aucune chance c'est une noble et toi un paysan .

– Qui te dit que je n'arriverai pas à la séduire

– D'accord mais dépêche toi

– Pourquoi? On a le temps .

– Euh non parce qu'elle est en train de partir là !

– Quoi ?

Je couru jusqu'à mon cheval et Alain me cria :

- Où tu vas ?

- Je ne sais pas mais je sais une chose !

– Tu sais quoi ?

– Je sais que je vais suivre cette famille.

– D'accord mais je dis quoi à maman?

– Ce que tu veux. Tu as toujours eu une forte imagination pour ça !

– Tu rentres quand ?

– Je ne sais pas.

Au bout de quelque minute j'avais réussi à rattrapés la voiture. Après une heure de route j'étais arrivé dans une grande ville, j'étais tellement impressionné par ce que je voyais que je perdis la voiture.

Il avait dus se déroulé deux heures sans que je n'ai pu retrouver la trace du véhicule.

La nuit commencée à tomber et il fallait que je trouve un endroit pour dormir.

Je mettais retrouver dans un cartier assai aisé où les gens me regardé comme si j'étais un monstre donc je me dépêchais à trouver un refuge pour passer la nuit. Puis la chance me sourit.

Au font de la rue il y avait une porte rouge ou était collé un papier. Il y avait quelque chose dessus que je n'arrivais pas à déchiffrer car je ne savais pas lire et écrire à 15 ans. Par instinct je pris le papier je toqua à la porte.

Il n'a pas fallu deux secondes pour qu'on m'ouvrit la porte.

C'était un grand homme, fort bien habillé qui m'avait ouvert la porte. Il me répliqua :

-Qui êtes vous ?

-Je m'appelle Édouard Monsieur, je répliquai

-Qu'es-que vous venez faire ici ?

Je montrais le papier que j'avais dans la main. Bien sûr sans rien dire car je ne savais pas se qu'il y avait d'écrit, l'homme me regarda un instant et il me dit:

deux êtres différentsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant