Chapitre 2 : Dégradation

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Le soleil ne passe pas inaperçu à l'aube du jour. Les fenêtres de mon antre sont drapées de tissus long et blancs. La lumière filtre aisément. C'est exactement pour cette raison que mon réveil est le même tout les débuts de jours.

Le chat n'est pas revenu depuis l'autre jour. Ma mère ne m'autorise plus aucune activité quelconque. Je ne sors plus pour le diner, comme au déjeuner et au souper. Je pourrais facilement sortir avec ce que j'ai appris dans les livres de mes bibliothèques et enseignements de mes professeurs personnels. Mais de toute façon sortir ne me servirait à rien puisque qu'on ne ferais que m'y faire retourné.
Quelqu'un toque tranquillement à me porte. Vu la frappe donné, cela ne sera forcément pas ma mère.

"- Entre." Dis-je avec ma voix habituelle.

J'entendis le bruit d'une serrure ce déverouillée. Craig entra avec son large sourire habituel. Il avais dans ses mains gantées, un plateau d'argent certis deux couverts surmonté d'une brillante cloche chacune.

"- Pardonnez mon intrusion Mademoiselle Kaïris, je viens vous apportée à déjeuner."

- Les excuses ne sont pas nécessaires tu sais.

- Cela n'est simplement qu'une marque de politesse pour vous très chère." Me répondit-il d'un air toujours aussi souriant, mais qui cette fois semblait légèrement triste. Je ne vois pas vraiment pourquoi serait-il triste. Mais je préfère me taire.

Il déposa le plateau tranquillement sur la table basse à peu de distance de mon goban en bois de chêne.

"- Je le sais très bien, mais j'aimerais réellement que les vouvoiement cesse.

- Jamais, vous respectez fait partis de mon travail et puis si je me faisait prendre qui sais ce qu'il m'arrivera. Au fait, si vous me permettez, que vous a-t-il prit hier pour que vous vous mettiez à courir de la sorte ? J'ai du nettoyer le parquet complet du couloir principal ainsi que nettoyez la tapisserie."

Il s'assied sur le sol à proximité de la table basse. Craig est bel homme, il est toujours vêtus d'un habit sérieux et de bottes noires d'élégance. C'est bien évidemment son travail qui l'en oblige. Ses cheveux sont d'une couleur assez extravagante, écarlate et non discrets. Il sont courts et fins. Sauf une des mèches du dessous qui sont réunis en ensemble afin de former une minuscule natte qu'une bille de la taille d'un vingt-cinq cent retiens.

"- Je suis désolée pour ça, il y avais un chat à ma fenêtre. Mon but n'était pas de te causer des ennuis."

Je me déplaçais tranquillement vers la table basse. Ces temps-ci, j'ai une petite douleur aux jambes que je ne saurais expliquer. Peut être à cause du manque d'exercices et des séquestrations fréquentes. Cela pourrais bien me donner une excuse pour sortir de ma chambre.

"- Un chat dites-vous ? Je vois... Ces temps-ci, beaucoup de chats tourne autour du manoir. Je vous conseillerais de restée assez loin des fenêtres. Je n'aimerais pas que quelque chose du genre arrive encore. Surtout que tout cela ne pourras que vous causée des ennuis." Dit-il en penchant légèrement la tête vers la gauche.

D'une manière calme et posée, il se passa une main dans les cheveux. En face de moi il était toujours décontracté d'une certaine manière. Devant mes parents il est totalement différent, il n'a pas vraiment le choix s'il souhaite garder son travail. C'est tout de même stupéfiant de pouvoir assisté à un tel changement d'attitude. Même s'il ne laisse rien paraître, je sens tout d'ici. Avec le temps, reconnaitre tout les tics et manie avec ce qu'elle veulent dire deviens facile.

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