Clara Stole

Chapitre 6

Quand 15 heures sonna, je me precipita dans les vestiaires, pris une douche et mis la robe que j'avais ce matin en venant. Je sortis dehors mais il n'étais pas là...
Une partie de moi s'en doutais, alors que l'autre me faisais espérer je ne sais quoi avec cet homme remplis d'orgueil.
Je me mis sur les marches car je ne voulais pas rentrer tout de suite, je mis mes écouteurs. Dix minutes s'était écouler et j'étais sur le point de partir quand une main toucha mon épaule et provoqua des frissons dans tout mon dos. Je me leva et me tourna, il était là devant moi, il semblait un peu essouffler et derrière son sourire en coin je perçu un peu d'anxiété voir même de nervosité.

"J'allais partir tu sais." Dis je en un arquant un sourcils.

"Je sais, je n'ai pas pu venir plutôt mais maintenant je suis tout à toi"

Sa fin de phrase me fit rigoler et il souria avec se sourire qui pourrait me faire tomber à la renverse.

"Tout à moi hein ?" Je haussa les sourcils en lui souriant toujours mais repris avant qu'il ne prenne la parole.
"Bon alors où allons nous ?"

"Suis moi" dit il en me tendant la main.

Je la lui pris, il la pressa et me surpris lorsque nous re rentrons dans l'école.

"J'espère que la hauteur ne t'effraie pas"

Je me stoppas, où voulez t-il aller ?
Mais avant que je ne puisse formuler cette question à voix haute, il me répondit comme s'il avait lu dans mes pensées.

"Tu me fait confiance ?"

"Oui"

J'étais moi même étonner par cette reponse qui était sortie de ma bouche sans que je n'y reflechisse, mais c'est vrai, sans pouvoir l'expliquer je savais qu'il ne me ferai pas de mal et que je pouvais lui donner ma confiance.
Il souria et nous monta des tonnes d'escaliers, tellement que je n'aurais sus dire combien d'étages nous avions monter. Une fois arriver a la dernière marche, il ouvrit la porte juste en face et je fût prise d'assaut par le vent.
Nous étions toujours main dans la main et il me tira pour que je passe par la porte. Une fois que mes yeux fût habituer à la lumière je vis que nous étions sur le toit de l'école. Je resta bouche bé un long moment. La vu était vraiment magnifique.

Je fus arracher à ma contemplation par le resonnement d'une musique que je connais parfaitement.
"Halo de Beyonce"
Il me regarda et me tendit la main, ce qui me fit remarquer qu'il l'avait lacher pour allumer l'enceinte poser entre deux pots gigantesque de fleurs magnifiques.

"Alors tu viens ?" Il sourit et arqua un sourcil.

Pour toute réponse je m'approcha et mis ma main dans la sienne. Il posa son autre main sur ma hanche et moi la mienne sur son épaule et il commença à nous faire balancer au rythme de la musique, ses yeux rivés aux miens. Aucun de nous deux ne pouvais décrocher les yeux de l'autre. Il me fit tourner puis me porta. Ce moment me sembla surréaliste, nous ne parlions pas mais une connexion incroyable était là, comme un lien indestructible juste entre nous qui nous relié sans que n'ayons rien a faire que nous regarder.
La musique s'arrêta, et il me dirigea vers un banc juste en face de la rue.
Il y eu un long silence puis il pris la parole.

"C'est magnifique hein ?"

"C'est incroyable ! Pourquoi m'a tu ammener ici ?" Je le regarda mais il regardait droit devant lui, là où on pouvais apercevoir tout New York qui s'ettendait à nos pieds.

"Je viens ici tout les soirs, je m'entraîne et regarde le soleil se coucher et ensuite je rentre chez moi. Je voulais que tu vois sa."

"Pourquoi moi ?" Dis je en baissant les yeux sur mes doigts emmêlés

Il tourna la tête vers moi, mis son pouce son mon menton pour m'obliger à le regardé et me dis :

"Tu est spéciale, pas comme les autres filles qui se pavanent, gloussent et battent des cils comme des biches pour aguicher n'importe quel gars un peu canon. Tu a du caractère et je sent que tu n'a pas du vivre des truc facile, je le sent, même si tu fait tout pour montrer le contraire" il sourit.

J'étais choquer de l'entendre me dire tout cela, qu'il me connaisse si vite sans que je ne lui raconte quoi que se soit sur moi, qu'il ai l'air d'apprécier le caractère de merde que ma cher famille m'ai refilé. Je nu pas le temps de réaliser ou même de repondre quoi que se soit que je sentie ses lèvres se poser sur les miennes.