Le commencement

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Point de vue de Gabriel :

Aujourd'hui nous étions dimanche, et comme chaque dimanche je me lève à 11h je reste dans ma chambre pour éviter une certaine personne ensuite vers 13h30 je sorte de mon entre et vait me douché 30 minutes plus tard je sors me sèche m'habille, je retourne habituellement dans ma chambre pour mettre ma lentille et descend enfin en bas sachant qu'il est déjà parti au travail et mange sauf que ce dimanche là ça ne sait malheureusement pas passer comme çà. Après que je me sois habillé, j'eu a peine le temps d'ouvrir la porte que déjà ma tête heurta violemment le mur me désorientant et me faisant tomber au sol, j'ai même pas le temps de me demander ce qui ç était passer que je sent mon père me ruer de coup. Je ne cherche même plus à me défendre, et de toute façon je n'en ai aucune envie et pourtant je sais me défendre mon frère ma appris mais je ne sais pas face à mon père je ne veux pas me défendre, peut être parce qu'au fond je sais que je le mérite... pff ahah n'importe quoi ce qu'il me fait je ne le mérite pas mais je ne sais pas je pense que je le laisse me faire du mal sans rien faire parce que ses mon père, le pire dans tout sa ses qu'il n'y va pas de main morte je suis sur qu'il m'a déjà péter 2 côte à force de frapper aussi fort

Moi: ar...arrête...tu me fais mal!!! Si tu continue sa ne ce cachera pas avec de simple vêt....ement!!!!

Mon père: FERME LA!!!!

Je savais qu'il allait me dire sa, et que lui demander d'arrêté ne servirait à rien mais je n'arrêta pas pour autant de lui demander, de toute façon sa ne sert à rien je me sans déjà partir dans peut de temps je vais perdre connaissance. Et la plus rien il a arrêté d'un coup, étant donner que je commence à partir j'arrive seulement à entendre la porte s'ouvrir en fracas, et dans un dernière effort je m'appuie sur la commode et la deviner mon étonnement en voyant la bande d'enfoiré juste devant ma porte qui me regard choqué
Moi: je... je vais bien...maintenant...partaient

Même moi je n'y croyais pas j'espérais que comme ils sont très con et d'un QI inférieur au mien ( non je ne me lance pas des fleurs je dis seulement la vérité ) ils me croiraient mais je n'ai pas pût voir ce qu'il faisait étant donner que je me suis évanouie

Point de vus de Caleb :

Avec Damien, Ethan, Josh, Joshua mais amis que j'ai rencontré en seconde, nous étions tranquillement entrain de nous balader dans le cartier assez aisé en nous remémorant la tête que faisait notre chère Gabriel lorsque nous l'avions laissé en sang dans les toilettes vendredi franchement ç était mémorable mais ses aussi assez frustrant j'aime voir la peur et la soumission dans les yeux des personnes que je prend pour mais victime mais dans les sien je ne vois rien d autre que du mépris et de l'indifférence et franchement sa le dons de me foutre en rogne et ses pour sa que je m'acharne sur lui depuis que nos prof nous on annoncé qu'un gamin de 15 serait dans notre classe car il a sautait une classe ( la seconde ) mais pas une seul fois je n'ai vue de peur dans ses yeux quand on le coincé pour le frappé. D'ailleurs ses un peu pour sa qu'on est dans ce cartier en ce moment étant donner que je sais ou il habite ( on la souvent suivie ses pour sa ) on commence à s'avancer vers sa maison et la on entend des cris " arrêt..." "sa ne se cachera pas avec de simple vêt...ement" on sait tous regarder d'un coup et je suis sur qu'on a tous penser à la même chose " il se fait battre par son père " pour mieux savoir ce qui ce passer, on passa le bout de nos tête par la fenêtre et ce qu'on vit nous choqua, Gabriel était par terre entrain de lui demander d'arrêté mais son père continuait de le rouer de coup.

Et la son père commence à s'avancer vers la porte alors on partit ce cacher, il ouvrit la porte qui tapa contre le mur et il partit...comme ça...comme ci tout était normal...je sais pas il n aurait pas oublier quelque chose...son fils agonisant dans leur entrer par exemple...JE SAIS PAS MOI!!! Mais pas le laisser la par terre comme une merde ( oui nous on le fait quand on le frappe... mais la le méchant se n'est pas nous mais son père...nous on est les sauveur, de cette pauvre victime...bon oké je me la ferme) quand on juge que son père est assez loin on décide d'aller voir si il va bien.
On entre et la on le voit essayé de ce relevé en s'appuyant sur le meuble à côte, j'allais lui demander si sa aller mais il me devança

Gabriel : je... je vais bien... maintenant...partaient

J'ai même pas le temps de lui dire qu'il se foutait de ma gueule qu'il s'évanouissa...mais à par sa sa va... et mon cu ses du poulet, on couru vers lui et Damien me dit

Damien : on devrait l'emmener à l'hôpital... on peut dire qu'il la pas mal amoché

Moi : ouai chui bien d'accord avec toi aller on l'embarque

On le pris avec nous et l'emmena à l'hôpital

Ma Nouvelle Vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant