Tu me vois tel que je suis vraiment,
Un monstre assoiffé de chaire et de sang,
Ne pouvant combattre ses pulsions,
Et se laissant emporter par ses illusions.
Je ne suis pas fou l'entendez vous bien,
Je suis simplement l'un des enfants du Malin,
Aussi vicelard et pervers qu'un démon,
Tout ceux qui s'opposeront à moi mourront.
Si j'en avais l'envie je vous dévorais.
Votre chaire dans mon estomac pourrirait,
Pour ensuite ressortir tel que vous êtes entrés,
Aussi pathétique et ignoble que vos vies ne l'était.
Vous ne valez pas mieux que moi sachez le,
Vous vous délectez de voir tout ces malheureux,
Ceux à vos pieds ne demandant que votre compassion,
Car leurs vies n'est que déception.
Mais au lieu de les aider vous les frappez,
Afin qu'ils ne prennent pas votre place en haut du sommet,
Celui que vous avez atteint en oubliant vos valeurs,
En vous réduisant à rependre le malheur.
Alors ? Lequel d'entre nous est le plus pourri ?
Lequel de nous est le plus maudit ?
Celui qui obéit à ses propre règles ?
Ou celui qui ne suis pas les siennes ?
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Poésies En Vrac
PoesiaCes poèmes vous emporterons au pays des merveilles, Mais le plus souvent, ils permettront votre éveille, En vous posant des questions existentielle, Et ils vous saura difficile de retrouver le sommeil.