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Chapitre 6 : Jalouse

PVD Béatice :

Nous sommes allez dans un bar après une victoire des garçons contre les canucks de Vancouver. Nous étions dix-huit au total. Tout allait bien, c'était vraiment amusant, tout le monde s'entendaient à merveille. Jusqu'au moment où, je vois Alex et Brendan entourée de belle fille brune et blonde, mince, elle leur touchaient les bras, leur dos, leur cou, leur cheveux, sa me faisait frissonner. Et là une nouvelle musique commencèrent et une petite brune, mince avec les seins ressortit et la jupe trop courte s'approcha de Gallagher et lui chuchota quelques chose à l'oreille et lui prenais la main pour aller je ne s'est où, les larmes me piquaient les yeux et j'eu un pincement au cœur terrible. J'étais tellement en colère en même temps d'être boulversée.

J'alla voir le barman et lui demanda un verre de vodka :

-Vodka, s'il vous plaît, un grand, très grand.

-Pour une jeune fille comme vous ?

-La jeune fille peux vous... je suis désoler j'en ai juste vraiment besoin !

-C'est bon , je vous prépare ça.

-Désoler !

-C'est correcte je comprend, il y'a un gars ici qui se fait draguer et ces votre fréquentation...

-Comment le savez-vous ?

-Vous êtes Béatrice Bergevin, mannequin professionnelle, international et lui il est Brendan Gallagher, joueur d'hockey professionnel.

-Okay, c'est bon, haha !

Tiffany arriva à mes côté et me regarda étonnée, me prenant le verre des mains ;

-Ce n'est pas vrai que tu vas te saouler avec de la vodka parce que l'homme que t'aime se fait draguer par une petite brune.

-Laisse-moi !

-Béa...

-Je suis correcte !

-Câlin ?

-C'est pas de refus !

Elle me donna un câlin et je m'effondra , elle me sortit dehors pour que je prenne l'air et que je respire une bon coup, une fois dehors je luis dit qu'elle pouvait rentrer et que j'allais la rejoindre dans pas long. C'était rude de voir Brendan, l'homme avec qui je suis en amour de puis des mois se faire draguer par une fille qui sort de nul part et qui doit surement être une pétasse !

PVD Brendan :

Une fille me tourne autour depuis 20 minutes et je vois Béatrice qui entrain de nous regarder du coin de l'œil. J'ai appris, tantôt, avant mon match, qu'elle ¸écrivait à un gars qui s'appelle, Julien. Je trouve qu'il y a trop de cœur pour qu'il soit juste un ami. Donc, oui, je suis définitivement jalouse de Julien. Je veux la rendre jalouse, mais je me sens énormément mal. elle mérite pas ça, j'essaie de sourire et de faire à semblant de m'amusé, mais au contraire, je veux Béatrice Bergevin, J'ai l'impression de me faire jouer dans le dos et de me faire manipuler, que pendant le dernier mois, c'était que de la bullshit. Je l'aime, je ne veux pas me la faire prendre par ce Julien.

J'ai regardé un dernier coup pour savoir où elle était, mais je ne l'a voyait plus. Je l'a chercha du regard et je crois que Katia, la femme de Max, m'a vue, car elle vient vers moi :

-Brendan Gallagher ?

-Bin voyons, oui ?

-Euh il est à moi, répond la brune.

-Toi, ferme-là. Dégage !

Elle s'en va sans dire un seul mot.

-Pas triste, j'espère.

-Vraiment pas, elle était collante et pas intéressante.

-T'es pas drôle, sa fait un mois que toi et Béatrice vous vous tournez autour et la des dans les bras d'une autre fille, pourquoi ?

-Béatrice a trouver quelqu'un d'autres.

-De quoi tu parles ?

-Elle a un autre homme dans sa vie !

-Mais de quoi tu parles, c'est qui ?

-Julien, je ne sais pas trop quoi, elle lui envoie beaucoup trop de cœur à mon goût.

-Julien est son meilleur ami, qui n'a pas arrêter de la pousser à faire le premier pas avec toi et en plus il est gay.

-Oh merde, j'ai faite une grosse gaffe là.

-Elle est dehors et elle pleure toute les larmes de son corps parce qu'elle pense qu'elle t'a perdu.

Je sortit à toute vitesse pour la trouver. Elle était introuvable, je l'a cherchais depuis dix minutes et toujours rien. J'étais vraiment inquiet, dire que tout ça est e ma faute et que je me suis faite des fausses idées, je lui est fait de la peine, je n'avais pas le droit. Je décida de retourner au bar en passant par le parc.

Je marchais quand j'entendis des pleures, sa voix. C'était Béatrice sans aucun doute. J'essayais de trouver de où venait sa voix, mais rien, je criais le plus fort possible son nom. Je courra d'un bord et de l'autre pour la trouver.

Je l'a voyais, là, sur un banc, tremblotant, en pleure. Je m'avançais vers elle en courrant rendu à deux mètre d'elle, elle se leva face à moi en me disant de ne pas la touchée, elle était complétement gelée, elle tremblait beaucoup :

-Ne me touche pas !

-Béa...

-Non, je ne veux rien savoir. Retourne voir ta jolie brune qui te fais tant sourire.

-Elle ne me faisait pas sourire.

-Tu ne t'es pas vue la face.

-Laisse-moi t'expliquer, s'il te plaît ?

-Non ! Dire que j'ai crue qu'il y aurait pu se passer quelques choses entre nous deux, dire que j'ai perdu mon temps à t'aimer et que toi tu te foutait complètement de ma gueule.

Je ne savais aucunement quoi dire, j'étais bouche bé. Je l'ai vraiment trop fait souffrir, mais il est hors de question que je l'a laisse dans cet état un samedi soir, nuit, terrifiée.

-Donne moi 5 minutes, juste cinq minutes pour t'expliqué la situation et après tu en feras ce que tu veux ?

-cinq minutes.

-Avant le match tu m'as laissée ton cellulaire et un message est survenu. C'étais ton ami, Julien. Quand j'ai vu son nom entouré de cœur, la première chose qui mes venu en tête ses : Elle s'est trouvée un autre homme. Je ne savais pas qu'il était gay. Le pourquoi je me suis battu au deux première minutes du match, j'avais besoin de faire évacué la colère que j'avais. Rendu au bar, t'avais du plaisir avec les autres et moi j'étais dans mon coin avec Alex et là des filles sont venu nous voir et quand elles sont arrivées, je t'ai vue me regarder je me suis dis : C'est le moment de la rendre jalouse. Quand j'ai vue que tu étais partie, je me suis senti le plus idiot du monde et je me sui rendu contre que ce n'était pas de la colère, mais de la jalousie, j'étais jaloux. Je t'aime Béatrice Bergevin, je t'aime tellement. J'aime comment tu es avec moi, j'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre avec toi et sa me plaît, tu me plaît.

-Premièrement, tu es idiot de ne pas t'avoir renseigné. Deuxièmement, tu es adorable. Troisièmement, je t'aime encore plus.

Puis, elle plaqua ses lèvres sur les miennes.

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Voilà, l'histoire de Gally et Béa, j'espère que vous avez aimée ?