Chapitre 11

164 13 0
                                    

-Ariana
-laisse-moi tranquille
-ouvre la porte
-non
-ouvre cette put*** de porte
-va t-en
-j'ai envie de te baiser, ouvre la porte
- tu ne m'intéresses pas
Je ne l'entendis plus, on dirait qu'il est parti, je reste seul pendant quelques heures, je décide de sortir vers 11h, je descend prendre un couteau-scie a la cuisine et je me dirige vers la chambre de Tristan.
Il dormait à point fermé, je me mis en califourchon sur lui et je mis le couteau sous son cou, il ouvrit les yeux et sourit.
-fais-le me dit-il
-je vais le faire
-tue-moi
-sale chien tu m'as violé
-je ne regrette pas ce que j'ai fait
-va te faire foutre
-qu'est ce que t'attend pour le faire
Il fit pression sur ma main et il enleva le couteau de ma main.
-tu n'en as pas le courage
Il enleva ma robe de nuit en soie et se coucha sur moi.
Je sentis un frisson parcourir mon bas ventre, il m'embrassa et demanda l'accès à ma bouche, nos lèvres s'entremêlent,
Il glissa un doigt en moi, je lâché un cri, pas un cri d'horreur mais de plaisir. Je n'arrive pas à croire que Tristan me faisait jouir. Il descend jusqu'à mes seins qu'il prit entre sa bouche.
Il descend de ma poitrine puis enleva ma culotte, il passe sa langue sur mon sexe puis pénètre sa langue en moi.
-oui...Tristan...
Il remonta à mes lèvres,je lui arrache son boxer, j'attrape son sexe et je commence à faire des va et vient avec ma main. Il gémissait comme un chien, je crois que je lui fais de l'effet.
-Ariana... Ouais
Son sexe chaud entre dans ma bouche, il m'enfonça la tête dans son sexe et il hurla de plaisir.
Il se retira et pris une capote dans le tiroir, il l'enrouler sur son sexe, il m'avance vers lui et j'enroulai mes pieds autour de ses hanches. Il entra en moi et poussa un cri de satisfaction, il commença à me donner des coups de bassin, le lit se déplace sous les coups de hanches de Tristan .
Il prit mes lèvres et accélère de plus en plus ces coups de bassin. Je me mis en califourchon sur lui et bouge au même rythme que moi. Du coup il me mît sur le ventre Tristan n'aimait pas se faire dominer. Malgré la douleur que j'eus quand il me pénétra par derrière je laisse échapper un cri roque qui résonna dans toute la chambre. Il accélère de plus en plus.
-Tristan...plus vite
Il accélère encore comme pour me montrer qu'il était capable d'aller plus vite. Après quelques minutes il se retira et se couche près de moi. Je mis ma tête sur son torse mouillé de sueur et je m'endormis dans ses bras.
Deux heures plus tard
Tristan m'avait enlacé contre lui, je pousse son bras et je m'habille de son boxer et d'un t-shirt à lui.
Je me dirige vers son bureau, il faut que je fasse attention, s'il me découvre je n'aurai plus d'excuse.
Son bureau était très bien rangé, je trouve des documents encore des documents mais c'est quoi ça?
Un document concernant moi et l'heritage. D'après le document Tristan ne peut pas toucher l'héritage parce qu'il n'y a aucune preuve que je suis morte. C'est lui qui a envoyé ces hommes chez nowaï, le salaud. Il va me le payer . Je prend des photos du document et je retourne trouver Tristan sur le lit.
-où étais-tu? Me dit-il
-j'étais allée me rafraîchir
-d'accord, rendors toi
Il m'embrassa sur la joue et s'endormir.
Le lendemain, il n'était plus à côté de moi, je m'étire et je descend en bas. Il était là, torse nu en boxer.
-oh t'es réveillé me dit-il
-j'ai faim
-je t'ai préparé à manger
Il m'embrassa et m'emmène déjeuner dans le jardin
-tu aimes la vue
-oui à part toi qui déjeune en boxer
Il se regarde et souris.
-je vais prendre une douche, je dois aller travailler
-d'accord
Il me donna un baiser à la fois tendre et doux et s'en alla. Il a au moins un côté humain.
Après son départ, je prend une douche et je commence à chercher la chambre où j'avais aperçu une femme par la fenêtre.
J'entre dans une chambre et j'aperçois une femme habillée d'une robe blanche. Ses cheveux étaient grisâtres quand elle se retourna je la reconnu de suite, c'était ma tante Ellen.
-qui êtes vou? Me dit-elle
-euh...
-où est-il? Qu'est ce que vous faites là?
-il est sorti, vous allez bien, vous avez l'air d'avoir peur de quelqu'un ou de quelque chose.
-aidez-moi ! Il va me tuer
-qui ça?
-qui d'autre? Tristan
-qu'est ce qu'il vous a fait?
-c'est une longue histoire maintenant aidez-moi à sortir d'ici
-non
-quoi?
-quand vous serez prêté à me dire ce qui s'est passé, je vous aiderai
-je ne vais rien te dire petite arrogante, tu crois que je ne t'ai pas entendu gémir entre les bras de mon homme.
-ton homme! Je ne crois pas qu'un jour de ta vie tu as su comblé un homme, je l'ai fait gémir pour être plus précisé il a hurlé de plaisir, tu ne lui as jamais donné tout ça.
-qui es-tu? Tu ne me connais pas...
-tu crois que j'allais t'aider à sortir d'ici, tante Ellen.
-Sienna!!!
-et oui c'est moi
-tu ne sais pas de quoi il est capable, tu dois t'éloigner de lui
-je sais très bien de quoi il est capable...
J'entends une voiture en bas
-faut que j'y aille et ne t'a visé pas de lui raconter quoi que ce soit
Je ferme la porte et je descend.
C'était Tristan je saute à son cou et il m'enlaca, il m'embrassa et me regarde fixement dans les yeux.
-quoi?
-rien
-allez dis-moi
-laisse tomber
-d'accord
-j'ai un truc pour toi
-quel truc?
-un cadeau
-montre-le moi
Il sortit une petite boîte de sa poche et me la tendit, je l'ouvre et il y'avait un collier orné de perles et de diamant qui étincelait dans la boîte.
-oh... Tristan
-tu l'aimes?
-bien-sûr mais mène pourrai pas le porter
-pourquoi?
-Léo
-je veux que tu le quittes
-quoi? Je ne peux pas ça va le briser
-t'es heureuse avec moi, quitte-le
-non,Je ne vais pas lui faire ça
-je ne vais pas te partager avec mon cretin de frère
-alors arrêtons de nous voir
-quoi?
-garde le collier, ce n'était pas sérieux entre nous, je ne voulais que du sexe intense avec toi.
-sors d'ici
-quoi?
-foule le camp hurla t-il
-tu ne voudrais pas passer un dernier moment de plaisir avec moi? Susurrai-je à son oreille
-quitte Léo et on passera ensemble tous les moments que tu voudras
-il m'aime, je ne peux pas
-je veux que tu sois à moi
-j'aime Léo alors que toi c'est seulement du sexe
Il me gifla et me poussa par terre
-seulement...seulement du sexe dit-il en colère
-je...
-ferme ton clapet sale chienne...sale profiteuse
Je le giflai, il écarquilla les yeux et me gifle à son tour, et sortit de la chambre, je me ruée sur la serrure mais Tristan m'avait enfermé
-Tristan laisse moi sortir
-tu vas rester ici
-pardonne-moi
-ferme la

Passionnée de mon ennemiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant