Chapitre1.
Dois-je lui dire ou simplement partir sans rien lui dire ? Je le voyais assis dans son fauteuil face à son match de baseball, je m'en veux tellement, je sais que sa le fera souffrir. Mais si je lui dis, il fera tout pour que je reste et il savait au comment j'étais sensible et facile à amadouée mais cette fois-ci, je devais absolument partir, ces nos vie qui son en jeu. Il souffrira que je sois partit s'en explication mais il s'en fera une raison que de devoir lui avoué que je partais et que je reviendrais surement jamais.
- Papa, je vais me couchée, mentit-je.
- Tu ne veux pas regardé le match avec moi ?
Il se retourna pour me regardé droit dans les yeux, se qui me fit déglutir.
- Si, mais demain j'ai une grosse interro et j'aimerais être en forme pour réussir !
Lui répondis-je avec le plus faux de mes sourires en essayant de dissimulé mon stresse.
- D'accord, dit-il les sourcils froncés.
Merde.
Je n'avais vraiment pas réussi à dissimulé mon stress à se que je crois. Il se pinça les lèvres, mauvais signe !
- Chérie tu sais que si tu as un souci, tu peux tout me dire, je sais que je suis vieux et pas du tout à la mode mais je suis là pour toi.
Je soupirais, je sentis mes yeux piqués, j'allais quand-même pas pleurer !
- Je sais papa, mais ne t'inquiète pas pour moi.
J'allais lui faire un câlin et un bisou sur sa joue ridé et pleines de cicatrices, par pitié, qu'il me recherche pas, sa risquerais de le tué.
Je murmurais un je t'aime. Et m'en allât vers les escaliers, je sentais son regards dans mon dos, je montait le plus vite et entra dans ma petite chambre verte, je regardais mon mur remplis de photos, caressa une avec un garçon qui m'enlaçait. Je l'arrachais et la mise dans mon sac qui posait sur mon lit déjà remplit de mes affaires. J'ouvris une dernière fois mon portable, envoyant tout les fichés dans une petit clé USB et effaçât le contenue du pc même les photos. J'allumais ma chêne-Ifi et mit mon disque favori : Ron Pope - Perfect For Me.
Je pensais à ma mère qui devais surement avoir honte de moi, je pris les vêtements sur ma commode, alla dans ma petite salle de bain. La voir presque vide me fis un petit pincement au cœur, j'enfilais mon jeans noir et ma petite chemise bleu rois ainsi que mes Nike noir avec la virgule mauve. Je scrutais mon visage pale, mes yeux avides.
Je devais m'en aller au plus vite, j'éteignis ma radio et ouvrit ma fenêtre et lança un dernier regard à ma chambre et je me mis a descendre par la gouttière et repris mon sac que j'avais balancé, je marchais longtemps.
J'aurais du lui avoué pourquoi je partais, pourquoi il me verra plus, pourquoi je vais totalement disparaitre.
Après avoir marché deux bonnes heures, je rejoignis ma bonne vieille Carrelle, ma voiture s'appelle Carrelle, je sais, s'est flippant mais j'aime vraiment bien. Pour une Mustang, elle était très bien, tout en noir, rho que je l'aime ma Carrelle.
J'ouvris le coffre et mis mon sac, quand un souffle chaud se fit sentir sur ma nuque, je fermais les yeux, je savais, s'est lui.
Ce lui est l'homme qui me poussait à partir loin de chez moi, il avait des yeux bleu et des cheveux blond toujours en bataille, il était plus grand que moi alors que je faisais déjà 1m82.
Ses lèvres embrassa mon cou, je voulue le repoussé mais il me retourna pour le voir et me plaqué contre la voiture, je sentis mes battements de cœur s'affolé.
- Mike, lâche-moi.
- Non, tu ne pars pas.
- Je le dois ! Tout sa, s'est ta faute à vouloir faire le matcho.
Il pleurait et me donnais envie de le faire sourire pour qu'il comprenne à combien je tenais à lui. Il s'avança vers moi et plaqua ses lèvres sur les miennes, il les écrasait m'obligeant à ouvrir la bouche et sa langue se joignis à la mienne.
J'arrêtai notre baisé, lui souris une dernière fois et lui mis un de mets poignards contre sa nuque, il se détacha de moi, il disait rien, il savait que je pouvais le tué même si je l'aimais plus que mon être.
Je le regardais une dernière fois, me dirigea vers la porte conducteur et me laissa tombé sur le siège, il était maintenant devant ma voiture, il était en colère, je le laisse, normal qu'il m'en veut.
Je mis le contacte, et il montra ses canines tout en soufflant contre la voiture, je lui fit mon regards le plus mortelle du monde, si sa fonctionnais vraiment, il serait déjà mort à terre.
J'avançais la voiture, il ne bougea pas, je me mis à roulé et cette fois-si, je ne faisais plus attention et alla vers lui, j'allais le percuté mais non, il s'envolât et se mit sur mon toit, je roulais à du 120Klm/h. Pris mon Firestars et tira vers le toit, il donna des cous, je le laissais faire, jusque quand je le vit sur mon rétroviseurs qu'il tomba tout en tenant son bras et je pue lire sur ses lèvres : je te retrouverais.