Be my latte macchiato ჻ jikook

|4| Remplace moi

! Me revoilà avec la suite mais également avec un LIME et des chochoses explicites inclues.

Je préviens encore les innocent(e)s parmi vous, si du moins il y'en reste xD

Sur ce bonne lecture. c: ¡

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Dernière heure de cours. Plus que 32 minutes avant que les leçons de mathématiques se terminent.

Aujourd'hui, la chaise à côté de moi n'est pas occupée par les fessiers de Taehyung. Elle l'a attendue cette belle matinée, tout comme moi d'ailleurs.

Son deuxième jours de classe, bravo.

Peut-être du à hier ? Je n'aurais jamais pris la peine d'imaginer que 'grand enfant' n'aurait même pas le courage de se montrer après ça. Est-il si mal à l'aise ? Dans l'autre sens, je devrais moi aussi me sentir un peu mal.

-flash-back-

« L'alien.. Tu-tu blagues encore hein ? »

Son regard ancré dans le mien. Le noir de ses yeux perçant mon esprit encore troublé par l'événement.

Il passe soudainement sa main dans ma chevelure pour en même temps, enlever les quelques grains de sel qui s'était propagé un peu partout dans la cuisine du studio et également sur nos deux corps au passage.

« Kookie, je peux recommencer ? »

Ce n'est plus Tae.

Le petit garçon de 6 ans au sourire si particulier. Il avait disparu et me réapparaît avec 11 ans de plus.

D'abord le taré, puis mon cher ami.

Ce soir, enfin, cette journée, a bouleversé ma vie calme en émotions.

« Yah.. Kim Taehyung.. »  lui fige tout en le repoussant d'une tape à l'épaule.

Un petit rictus nerveux, serré entre mes dents, j'essayais de me retirer de cette ambiance. Il se racla la gorge, puis me tend la main en se relevant sous un air honteux.

« Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, une voix dans ma tête m'a ensorcelé et puis... »

Je l'avais repoussé. Je ne sais même pas qui je suis. Je préférais plutôt garder ma précieuse amitié, mes souvenirs malheureux devenu si joyeux grâce à lui que de m'aventurer dans de dangereux sentiments.

Mais, sans réfléchir, sur un coup de tête autrement dit ; tu m'offrirais un baiser en me disant que tu m'aimerais ?

« Le plat va refroidir.. »

Le repas s'était fait en silence. Le malaise se faisait ressentir. Jusqu'à enfin entamer quelques mots. Tout redevenait comme avant seulement en une heure devant un film. Ça s'apercevait depuis son ora, sous son visage captif, regardant fixement l'écran, qu'il en était déboussolé lui aussi.

J'ai toujours l'habitude, lorsqu'on prend la décision de visionner un des DVD qui traîne parmi sa collection, de l'entendre faire autant de commentaire à chaque scène, soit qu'il révèle la fin du film par son grand enthousiasme, ou encore, qu'il se mette à chanter la petite chansonnette de fond. Mais là, rien.