Nightingale [Camren One-shot]

Conte de fée

Elle était doucement posée sur sa terrasse, regardant les passants... passée. Que pouvait-elle faire de plus ? Rien bien sûr, les cours avait pris fin depuis deux semaines et elle s'ennuyait à mourir dans son loft. Oui, oui, un loft, en même temps, papa et maman avaient les moyens de lui payer « sa » liberté, elle pouffa ce n'était sa liberté mais la leur qu'ils avaient obtenues quand elle avait quitté le foyer familial pour se loft, rassurez-vous, ce loft était loin d'être pourris ! Il y avait un grand salon dont les murs blanc faisait ressortir les meubles gris et noir de la pièce et le parquet en bois grinçant à certains endroit quand elle marchait, la cuisine était séparée du salon par un simple plan de travaille en bois de chênes, la cuisine ? Pas besoin de la décrire, c'est qu'une cuisine au final. Il y avait aussi une grande salle de bain adjacente à sa chambre, chambre qu'elle utilisait très peu seule d'ailleurs toujours une conquête passant la nuit avec elle et repartais le lendemain sous sa demande plus que violente. Elle souffla et rentra dans son loft laissant tout de même sa baie vitrée ouverte, faisant rentrée de l'air frai dans le loft qui commençais à sentir le renfermée et la clope... elle jeta un rapide coup d'œil dans l'ensemble de son loft et en arriva à cette même conclusion : c'était le gros bordel... mégot, bouteille vide, vêtement ou encore carton de pizza elle se demandait elle-même comment elle pouvait faire pour vivre dans cette déchèterie... Ah oui c'est vrai, elle était elle-même une déchetterie vivante. Elle souffla un grand coup et pris de grand sac poubelle et commença à ranger un peu tout ce bordel monstre, jetant en premier les bout de pizza restant, c'est ce qui attirés le plus les mouches en plus... elle prit ensuite les bouteilles vides et remplis le sac avec toute les conneries inutile qui pouvaient trainées au sol, elle prit ensuite les vêtements et elle les mît dans un autre sac qu'elle lança dans son salon, elle ira à la laverie plus tard... Elle descendit ses sac d'ordures rapidement et remonta tout aussi vite les escaliers ce faisant une résolution qu'elle tiendra certainement jamais dans le coin de sa tête « faire du sport », essoufflée c'était le mot qui pouvait le mieux la décrire au moment où elle passait de nouveau la porte de son loft, rentrant dans un petit couloir, où il y avait un miroir, ces chaussures, un petit meuble pour diverse chose qu'elle commença à ranger et quelque cadre, un de sa famille, un de sa petite sœur et un de son frère. Ayant finis de ranger son meuble à clé, nom bizarre elle se l'avouait, elle mit, en premier temps, un morceau de musique sur ces enceintes, ce qu'elle aimait faire était de mettre un seul morceau de l'écouter en boucle simplement pour s'imprégner des basses, de la voix de l'artiste et des paroles qu'elle les comprenne un peu ou pas du tout. Cette fois-ci se fut One last time de Ariana Grande, elle aimait assez cette chanteuse, elle avait un réel talent et elle ne pouvait pas le niez... Elle mit donc le morceau en boucle dans ses enceintes montant le son assez fort pour recouvrir le bruit des voitures et klaxons qui venaient de dehors. Elle allât chercher son aspirateur, car oui, malgré ce dépotoir le plus totale elle aimait quelque peu le rangement et gardée précieusement son aspirateur et sa serpillère dans un petit placard au fond du couloir. Elle passait alors l'aspirateur chantant de temps à autre les partis de la chanson qu'elle connaissait et accompagnés en beat-boxant du mieux qu'elle pouvait les basses derrière, elle rigolait toute seule et ça lui faisait un bien fou, cela faisait longtemps qu'elle ne s'était pas retrouvée seule, telle une adolescente vagabondant. L'aspirateur passée dans tout le loft la serpillère passait, elle se retrouva de nouveau sur sa terrasse, un clope dans la bouche et un livre entre les mains, L'appel de l'ange, Guillaume Musso, un auteur français qu'elle avait découvert grâce à sa mère, le premier «vraie » livre qu'elle lisait seule. Elle l'avait adorée, elle avait adorée comment cette échange de téléphone entre deux personne qui de base ne se connaissait pas et qui avait l'air de se détester aux premiers abords avait pu changer leur vie, c'était comme tous les autres livres un conte de fée mais ce conte de fée était un peu plus réaliste et le passée d'un des personnages était toujours bizarrement liées à celui de l'autre, un vraie âme-sœur, se disait-elle toujours quand elle lisait ce livre. Elle, elle ne le trouvait pas et ne le cherchait pas, à quoi bon ? Les contes de fées c'étaient dans les livres et à part les autos biographie tout était toujours fictif et totalement imaginatif... Perdu dans ses pensées, c'est la brulure de sa clope entre ces doigts qui l'en sortis, elle lâchât la cigarette qui retomba quelque mètre plus bas sur le trottoir entre des passants, coup de chance, elle secoua la main de haut en bas et rentra dans son loft qui, par chance, avait presque entièrement sécher entre temps , elle mit sa main sous l'eau glacée pour refroidir la blessure ce qui lui fit de bien puis mit un pansement sur la brûlure pour éviter de se refaire mal comme une imbécile. Elle souffla alors et regarda le sac de linge puis le soleil couchant et en vint à une nouvelle conclusion : Elle ira demain de toute façon c'était les vacances elle avait encore du temps.