Ezra ~ une âme égarée

partie 1

Salem
《Ce sentiment de peur, d'angoisse L'impression que tout les regards sont braqués sur moi
Car oui ils n'attendent que ça,
Ils veulent me voir tomber,
Me voir souffrir, me voir sombrer.
Car je ne suis pour eux qu'un objet une marionnette que l'on peut contrôler
J'ai souffert toutes ces années
Et je rêve, je rêve de liberté》

J'attends. J'attends quoi? Même moi je sais pas. J'attends peut être ma fin ou la fin d'un autre qui sait. Je réfléchi à l'avenir, le mien, le leur, le notre. Tout ce que je vois n'est que malheur et tristesse, je vois un monde où la mort est omniprésente et le mal aussi, un monde où même la personne la plus sincère et pieuse peut tomber dans le hram...en fait ce que je vois c'est la cité. Ouais cette cité qui nous a vue grandir, cette cité qui tue nos frères et soeurs et qui n'attend qu'une chose, nous voir sombrer. Elle en a déjà attiré tellement, les jeunes, les anciens et...samir. Samir, c'était la seule personne sur qui je pouvais compter, le seul qui ne m'a jamais jugé. C'était mon amie, mon frère, mon père. Mais bon comme on dit "nous avons été créé poussière et nous retournerons poussière". Il est mort, mort en me protégeant donc à cause de moi.

~flashback~

Ce soir y a un règlement de compte avec la cité ennemi et tout le monde doit y aller. Samir et moi attendons en bas de la tour l'arrivée des autres mais sans que je m'en rende compte une balle qui venait de je sais pas où allait me toucher mais samir la vue et la prise en plein coeur.

Moi: samir kho...sniff...me laisse pas hefek...sniff....

Samir: c'est déjà trop tard...

Il est mort en disant ça. Il est mort en me disant qu'il allait mourir, il a même pas pu chahade.

~fin du flashback~

Depuis ce jour, mon coeur est une grande plaie ouverte, une plaie que jamais personne ne pourra soigner. Je me suis juré de ne plus jamais pleurer ni pour samir ni pour personne d'ailleurs. Maintenant j'ai soif de vengeance, je veux que cette cité paie pour ce que l'un des leurs à commis, je veux qu'ils regrettent tous un par un la mort de mon frère. Quand je l'ai tortureraient jusqu'à la mort, je veux qu'ils me supplient à genoux, qu'il me supplient d'arrêter ce calvaires. Mais jamais je ne les laisserai vivre, jamais. Le cauchemar ne fait que commencer et croyez moi ça ce finira en bain de sang.

Voilà ma première partie j'espère que vous aimerez, si vous voulez plus de dialogues dites le moi.
Votez
Commentez
Partagez au max
Salem