Savoir s'adapter

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On fait tous des erreurs, nous font-elles du bien ou du mal ? Tout dépend de nous, si l'erreur est volontaire pour provoquer la honte ou la méchanceté, il vaudrait mieux s'arrêter là. A moins que ces actes ne fassent partie de la personnalité, où l'on se sent obligé, poussé à les faire, comme si cela appartenait à notre vie. Quel est la raison de ce problème ? Et bien la plupart du temps cela est dû à une petite voix qui n'arrête pas de te chuchoter ce que tu n'as pas envie de faire, une voix qui te rabaisse pour te donner l'envie de tout lâcher,mais il y a aussi les pensées qui font partie du développement des voix percutantes, qui t'ordonnent d'agir avec le mal. Les pensées que tu n'as pas envie de voir apparaître, car certaines peuvent être choquantes, honteuses, catastrophiques ou bien même traumatisantes. Tu n'as qu'une seul envie, c'est qu'elles partent, qu'elles prennent le large avant que toi même tu ne perdes la tête au point de devenir fou. Tu décides alors, de trouver une solution. Cette solution, qui te fera voir autre chose que les problèmes, qui t'aidera à soulager ta conscience, à évaporer le mal qui est en toi pour te procurer un maximum de bien-être et par la suite te permettre de voir la vie d'une façon bien différente. On a tous des solutions pour être mieux dans notre vie, comme nos actes, elles peuvent être constructives ou bien faire partie du mal.
        Ne pas faire d'erreurs peut être un privilège dans notre vie, pourtant tout le monde en fait, sans cela nous ne pouvons pas avancer et apprendre. Ces erreurs que l'on fait involontairement, qui ne cessent de se produire, une part une, qui même des fois n'en finissent pas. Oui, c'est une erreur de faire de »s erreurs, cela montre que les actes réalisés mènent à une leçon de vie : On ne reproduit pas la même erreur à moins d'être têtu. Quelques unes aussi peuvent être des objectifs que vous vous étiez fixé mais qui n'ont pas étés accomplis à la première tentative.Par la suite vous vous êtes rendus compte qu'il fallait simplement travailler deux fois plus pour l'obtenir. Les coups de grâce,  à la foi merveilleux et beaux. Quand cela nous arrive, on se sent bien, on sourie sans cesse et on ne se rend plus compte de quoi que ce soit. Le sourire aux lèvres, le bonheur autour de nous, on se sent bercer par le vent et une impression d'être entouré de nuages bien moelleux, où l'on sent une petite brise à l'odeur citronnée. Logiquement, on ne veut pas que ce voyage s'arrête. Puis un jour, ce que l'on redoutait le plus se produit. Et là on se dit : «Non d'une cigogne en plein vol ! Je veux dire merci à la vie, à toutes les choses qui m'arrivent, que cela soit bon ou mauvais, là je pourrais continuer à vivre comme un ange sur son nuage. »
                                                                                                                        D.TOS

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