Mon faire-valoir

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J'en profite pour vous faire partager mon expérience d'hier, pendant la nuit.


Alors que je regardais le plus tranquillement possible un épisode de The 100, je décide d'ouvrir la fenêtre. Fumant comme un pompier, on commençait vite à étouffer dans ma ridicule petite chambre alors je décide d'ouvrir la fenêtre. 


Un papillon de nuit solitaire décide alors de se joindre à la fête, mais n'ayant aucun compassion je l'enferme dans un verre. Aujourd'hui encore, il est dans son verre en attendant que je lui donne l'ordre d'aller tuer des gens.


J'ai un esclave papillon, et ça, c'est beau.



Et je viens de me souvenir que je l'avais matraqué de coup de converse dans la gueule avant de le garder dans ce verre, je doute qu'il puisse m'obéir encore.


Ce fut toute la cruauté humaine envers les plus faible qui fut démontrer à travers ces quelques mots.

Je regrette mon acte, sérieux. je m'en veux, putain.  

The Strange BookOù les histoires vivent. Découvrez maintenant