[Narry] Why did you leave ?

Chapitre 2

Salut à tous, voilà le deuxième chapitre. J'espère qu'il vous plaira même si je le trouve moins bien par rapport au premier. Si le chapitre vous plait, n'hésitez pas à voter et commenter ou même à me contacter par message si vous voulez plus d'information sur moi ou sur l'histoire ou si vous voulez juste parler. N'hésitez pas à parler de l'histoire autour de vous car plus on est de fou moins il y a de riz. Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture.

« Ne lui remplissez pas son verre s'il vous plait. »

Cette voix... Je la reconnaîtrais entre toutes. Je sens ma mâchoire et mes poings se serrer et trembler. Je retiens difficilement mes larmes. Il se met au bar, à côté de moi, m'obligeant presque à le regarder. Je pose un billet sur le bar, me lève en prenant soin de ne pas le regarder et sort du bar. Les battements de mon cœur et ma respiration s'accélèrent, mes larmes coulent le long de mes joues et se mêlent à la pluie. Je perds le contrôle. Je me mets à marcher sans savoir où je vais. Je veux juste m'en aller d'ici, m'éloigner de lui. Je l'entends crier mon nom. Les cris sont de plus en plus proches de moi. J'accélère mais il se rapproche toujours plus de moi. Je cours presque mais finalement je sens son bras me tirer de la foule et m'emmener à l'écart, dans une petite ruelle. Il s'avance vers moi mais je le repousse de toutes mes forces. Il s'arrête de bouger et sourit. Je profite qu'il se soit arrêté de bouger pour lui poser une question, contrôlant difficilement ma colère :

Niall : Pourquoi ?! Pourquoi t'es revenu Harry ? Tout le monde te croyait mort. Tes parents te croyaient mort, les gars te croyaient mort, JE te croyais mort ! Nous avons fait notre deuil en espérant que tu ne sois pas mort mais juste parti vivre ailleurs et que tu reviendrais nous voir ! Mais tu n'es jamais revenu ! Jamais !

Harry : Maintenant je suis revenu.

Niall : Tu peux remourir ! Tes parents t'accepterons surement mais pas moi. Pas après ce que tu m'as fait subir. »

Il se prépare à répondre mais dès qu'il ouvre la bouche, je lui fais signe de se taire. Sa voix que je trouvais parfaite avant son départ m'est dorénavant insupportable. Je le regarde. Il baisse la tête. Il a encaissé les reproches sans broncher même si je suppose que lui avoir dit de mourir l'a affecté. Je pars. Il n'essaie pas de me retenir