Revenge [One Direction Fanfiction]

Harry

Ça fait deux semaines qu'on fait que bosser avec les boys. C'est crevant une vie de star. Malgré tout le boulot qu'on a je ne fais que penser à elle. J'aurais jamais penser la revoir... Elle a tellement changé... Où est passé la petite fille ronde au nattes trop longues?
Évidemment je me souviens d'elle, de sa façon de jouer au théâtre, elle était exceptionnelle, je la considérais comme une amie... Je me doutais bien qu'elle m'appréciait un peu plus mais ça me gênait pas.
Puis il y a eu Marie , cette petite garce, qui avait des photos d'Iléane en train de se changer aux vestiaires. Je voulais en parler à Iléane je lui avais donné rdv un matin de classe. Mais Marie m'a dit que si je lui disais elle les montrerait à tout le collège, alors je ne suis pas allée voir Iléane. Marie a raconté à tout le monde que j'étais amoureux d'elle, si je n'allais pas dans son sens elle aurait dévoilé les photos... Quand on est allés en sport elle m'a appelé. Iléane était la aussi, paniquée, quasiment nue... Puis tout le monde a débarqué et l'a humilié. Je pouvais rien faire... Je voulais pas que tous voient les photos...
Le lendemain je voulais la voir , lu parler, je l'ai attendu au théâtre mais elle n'est jamais revenu. J'ai essayé plusieurs fois de reprendre contact mais sans succès.
Puis avec le temps je l'ai oubliée, puis ma vie a prit un autre tournant avec la musique et les boys, j'ai enchaîné les demoiselles... Jusqu'à cette soirée où elle était là devant moi. Elle est devenu magnifique, elle s'est métamorphosée... La chenille est devenue un beau papillon... Son malaise m'a révélé son mal-être et je vais tout faire pour que cette fille aille mieux, je me sens inexplicablement responsable d'elle.
Le lendemain je lui envoyé des roses, jaunes, comme le soleil.
J'ai écrit un mot où je lui ai dit que j'allais venir la voir.
Et aujourd'hui je me retrouve devant son appart, il est jaune, ça me fait sourire. J'ai fait en sorte de m'assurer qu'elle soit seule chez elle, je veux lui parler ouvertement et je sens que ça va être difficile.

Ça fait quinze minutes que je suis là, elle se décide enfin à me balancer des trucs horribles à la gueule. Mais je suis absorbé dans le contemplation de son visage, ses yeux si sombres, ses lèvres, son cou... Je lui répond à peine, puis elle m'insulte, ce qui a le don de m'énerver. Dans un excès de colère je la plaque contre le mur, on est collé. Elle a l'air d'avoir envie de chialer, je vais y aller doucement... Je la sens toute chaude contre moi, je me décide à la consoler de la seule manière que je connais, je l'embrasse, et une décharge électrique me parcourt tandis que nos langues se mêlent.