Evelyn Smith, 17 ans, long cheveux brun, lisses. J'ai de beaux yeux verts. Je suis au lycée Olden Drage. Il y a un groupe populaire basé sur 5 garçons. Il y a aussi un groupe de pimbêches, basé de 3 pestes. Vous voyez ce genre de filles grand décolleté, jupe ras le minou et trois tonnes de maquillage? Et bien voilà ce sont...ça. Je ne suis même pas sûre que ce soit humain, ce genre de phénomène. Et puis il y à moi, je n'ai pas vraiment d'amis. Seulement parce que d'après les gens j'ai une tête à devoirs, alors que pas du tout. Je suis plutôt le genre de fille réservée, mais qui aimes faire la fête. Je suis timide, mais folle quand on me connait. D'après quelques gens, je suis la fille la plus jolie du lycée. Alors bien sûr, je me dis que ce n'est que des foutaises. Je m'habille à la mode, je ne m'habille jamais comme un sac, à part le dimanche ou quand je n'ai pas le moral. Mes parents sont pratiquement toujours en voyage. Ma mère est styliste ce qui explique que je sois habillée pratiquement toujours à la mode, et mon père, lui, est entraîneur d'une équipe de foot. Il n'est jamais à la maison, et quand je dis jamais je n'exagère pas, toujours à ce trimballé d'un pays à un autre pour aller entraîner ces foutues équipes à la con, alors je suis presque tout le temps toute seule chez moi.
Le seul sport que j'aime est courir. Ça me permet d'évacuer.
►6h00►
♫Windmills in the sky♫
Fichu réveil qui sonne. J'aime les cours, mais bordel que je n'aime pas le réveil. Faut se séparer de son lit, de la chaleur et de son coussin. Je grogne et me lève quelques instants après. Je me dirige vers mon armoire et prend quelques affaires. Aujourd'hui, j'ai décidée de m'habiller en jean, avec un pull Superdry. Bon, bien évidemment que ce n'est pas ma mère qui m'a conseiller ces choses-là, mais j'aime tellement ce style. Je me maquille légèrement, un coup de mascara, et du crayon, mes parents m'ont appris à être simple, à être moi-même. Je me laisse les cheveux détachés. Je prends mes écouteurs et pars en direction de mon lycée.
En arrivant au lycée, les mecs habillés jogging pull, les grosses racailles me mattent de haut en bas comme tous les matins. J'ai plutôt un joli corps, j'ai de jolies fesses, une belle poitrine, ni trop grosse, ni trop petite.
Je passe devant les pintades qui elles rigolent en me regardant elles aussi de haut en bas. Elles me font pitiés parfois, se foutre de la gueule des autres pour se sentir puissante. Plusieurs fois je l'es ai surprise en train d'humilier une jeune fille, et combien de fois je me retenais d'intervenir.
Je passe devant le groupe populaire des cinq garçons qui rigolent entre eux. Je m'assois sur un banc en face d'eux, change de musique et vais sur Facebook. Je fais défilé les actualités sous mes yeux, toutes aussi stupide les une autant que les autres.
Je sens un regard pesant sur moi, ce qui me fait lever la tête. Je balaye la cour du regard et je vois tout d'abord les pintades rigoler et mâcher leurs chewing-gum comme des vaches. Je continue et tombe sur les cinq garçons qui me fixaient. Je fronce les sourcils et les voit sourire. Nous nous ne connaissions même pas, pourquoi me fixaient-ils ? Je sais seulement leurs prénom et nom, et je sais qu'ils sont très très (très très) beaux. Je pense même que ce sont les plus beaux du lycée.
L'un avait la peau mat, les cheveux noirs et les yeux foncés et mesurer environ 1m75, Zayn Malik.
Un autre était brun, les yeux marron et mesurer à peu près pareil que Zayn, c'était Liam, Liam Payne.
Blond, yeux bleus, 1m70, c'est Niall Horan, le petit ange de la bande.
Bouclé, cheveux qui arrivent aux épaules, yeux verts, énormément charmeur, c'est Harry Styles.
Les cheveux bruns en bataille, yeux bleus, belle paires de fesses, c'est Louis Tomlinson.
Chacun d'eux avaient un côté attirant.
Je détourne le regard et reporte mon attention sur mon téléphone. Puis quelques secondes après la sonnerie retentit, j'ai cours d'Histoire avec une prof alcoolique. Je range mes écouteurs et mon téléphone dans mon sac et me dirige vers mon cours. Dieu sait que je déteste cette matière. Je rentre dans la classe et me dirige tout au fond, contre une fenêtre. Je regarde par la fenêtre et regarde le paysage en attendant que la prof arrive.
... : Je peux ?
Je tourne le regard vers la personne qui venait de m'adresser la parole et croise de jolis yeux bleus.
Evelyn : Bien sûr.
Il tira la chaise en arrière et s'installa sur celle-ci. Je remarque du coin de l'œil que mon camarade n'arrête pas de me fixer. Mildiou, qu'ont-ils tous à me fixer? Je le regarde et hausse un sourcil.
... : Louis. Et toi?
Comme si je ne savais pas son prénom. Tout le monde connait son prénom.
Evelyn : Evelyn.
Il souriait bêtement et commença à jouer avec son stylo.
Louis : Je n'sais même pas pourquoi je te l'ai demandé car je le connaissais.
Je fis un simple mouvement de tête en lâchant un simple « Oh. » et portais mon attention au cours. Louis et ses potes étaient respectueux envers les autres, peut-importe qu'ils soient faible ou pas. Même s'ils se tapaient toutes les filles avec une jupe ras le minou, ils restaient respectueux. Quand ils manquaient de respect, c'est que la personne en face l'avait cherché.
Le cours se passait tranquillement jusqu'à la sonnerie. Tout le monde rangea ces cours aussi vite qu'ils les avaient sortis. Je sortis, Louis quelques pas derrière moi. Avec tout le monde qu'il y avait dans les couloirs je pense que je l'es semé, je déteste que l'on me colle. Je levais les yeux et vu une grande troupe, formé en cercle. Quand il y à ça, c'est généralement qu'il y a une bagarre, ou tout simplement règlement de comptes. Je m'approchais d'un peu plus près, me faufilais entre les gens et vu en premier Camille, l'une des pintades, et juste devant moi se trouvait une seconde apeurée. Enfin, elle paraissait plus jeune qu'une seconde.
... : Je suis désolée, j'suis pas de ce lycée...
Camille explosa de rire avec ses deux pintades derrière elle et repris son sérieux puis toisa la jeune fille.
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horribly in love //l.t
FanficEntre sentiments, « Tu...m'aimes ? -Oui. -Comment tu le sais? -Je le sais parce que je déteste cette sensation. » Rires, « Tes blagues sont vraiment nulles Louis, tu n'es pas drôle. » Colère, « Tu n'sers à rien. On n'a rien à faire ensemble. Que j'a...