chapitre 2

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Le lendemain, je me réveille de bonne humeur
J'aurai aimé rester avec ma petite famille

Je n'avais vraiment pas envie d'aller au travail mais bon nous sommes Samedi, je descends plus tôt que d'habitude

Je fais mon rituel du matin et vais au salon. J'y ai trouvé mouhamed entrain de suivre un film

moi: salut

Mouhamed: ça va princesse?

Moi: ça va tranquille

Lui: tu es matinale aujourd'hui qu'est ce que tu as?

Moi: rien tu oublies qu'on est samedi là je quitte plus tôt que d'habitude

Lui: oui c'est ça alors à tout à l'heure bonne journée ma grande!

Moi: ciao à plus

Mouhamed c'est mon unique frére. Il à 18ans et je l'aime tellement. Mais son point faible c'est les femmes. N'empêche qu'il travaille bien à l'école et ne s'occupe pas de ce qui ne le regarde car il m'a toujours dit que ça coute zéro franc de laisser les gens vivre paisiblement leur vie et de ne pas nous mêler de ce qui ne nous regarde point.

Il est 7h31 quand je franchis le seuil de la porte. Personne ne s'était encore réveillé dans la demeure.

J'ai fait tout mon travail et je suis rentrée à 15h.

Comme j'ail'habitude de sortir avec mouhamed les Samedis soir,on a décidè aujourd'hui de nous promener jusquà la corniche pour suivre les séances d'entrainement.

Nous sommes partis prévenir ma mére mais celle là ne nous laisse jamais partir sans poser de questions. Elle est trop possessive.

Moi: maman je sors avec mouhamed nous voulons changer les idées

Maman: vous allez oú? votre destination n'a-t-elle pas de nom?

Moi: nous allons à la corniche.

Elle :D'accord soyez sages et ne rentrez pas trop tard

Mouha: ne t'inquiète pas maman nous étions , nous sommes et nous seron toujours sages ne t'en fais surtout pas .

Elle: qui t'a sonné toi? Tu sais pas que tu as des comptes à me rendre?

Lui: maman tu ne crois toujours pas à ce que je t'ai dit? La fille qui était venue l'autre jour, c'est une camarade de classe. Elle était lá pour du travail.

Elle: Quel travail? Ce travail consiste-t-il à faire entrer des filles dans ta chambre?

Moi: laisse le maman tu sais bien que ton cher filston ne s'interesse pas à ces nana. Il a d'autres priotités tu vois pas?

Elle: on dirait que tu ne le connais pas assez ,c'est un vrai coureur de jupon

Lui: c'est quoi un coureur de jupon même?

Moi: toi là avec ta grosse tête là tshiip allez maman laisse nous nous y aller. Vous réglerez vos comptes après.

Elle: allez à toute à l'heure mais soyez sages et pas de bêtises.

Enfin nous étions dehors. On parlait de tout et de rien.
Mouha n'arrêtait pas de lancer des regards aux filles. Il était tout excité.

Nous étions entrain de marcher tranquillement quand tout à coup je remarque qu'un homme m'observait.

J'ai voulu ne pas le calculer mais quand j'ai détourné la tête j'ai su que ce n'était personne d'autre que Zakaria qui, accompagné d' une fille de je ne sais d'où. Je n'étais pas aussi surprenante vu qu'on peut s'attendre à tout venant de lui.
Vraiment sa mère ne lui a pas appris la vergogne.il change de copine comme il en fait avec ses caleçons. A jamais je maudit le jour où je me suis mise sur son chemin.

Au fait, Zakaria est un gars parmi ceux avec qui je sors en ce moment. Ils sont au nombre de 3 mais franchement aucun d'eux ne m'intéresse surtout celui qui est là en face de moi mais cela ne m'empêchera pas de lui assainer mes quatres vérités. j'ai remué ciel et terre pour trouver une bonne excuse de me débarasser de lui. Mais aujourd'hui c'est mon jour ,une belle .....la plus belle occasion de l'année. "Tcheyy kou ayé war sa momé".

À ce que je vois monsieur m'a déjà trouvé une remplaçante.
Il était là à m'observer tranquillement avec sa vieille tête de koromagnon.

la fille: qui est-elle pourquoi tu la regarde comme ça? demande-t-elle en s'adressant à zakaria.

Moi: tu n'as qu'à me le demander, aprés tout je ne suis pas loin de toi.

Elle: je ne t'ai pas sonné toi je m'addresse à Zak.

Moi: C'est juste pour t'aider à trouver une réponse! on dirait que ton chèri a perdu sa langue.
Ecoute bien ceci, dis-je en m'addressant à Zak, qui me dévisageait avec mépris, sache que tu ne me deçois vraiment pas, tu as beau parler comme un héros mais tu demeures un pauvre homme égaré et misérable.

Lui: Je t'interdis de m'insulter devant ma fiancée. Tu vois pas que tu m'as poussé à bout, tu n'as jamais voulu t'offrir à moi, je suis juste aller chercher ailleurs ce que tu n'as jamais été capable de me fournir.

Moi: Et moi, je t'ai toujours dit que je voulais me réserver à mon mari. Vous les hommes, vous êtes pareils. Que des égoïstes vous ne pensez qu'a vos libidos.

Lui: tu es plus égoïste que quiconque, je pensais t'avoir donné assez de temps mais mademoiselle est là entrain de me parler de mari, alors ne semble pas étonnée de me voire avec une autre.

La fille: Quelle connne j'ignorais que des filles de ton espéce existent encore un homme si élégant et virile comme Zak ne se retient pas avec des mots doux mais avec des actes.

Moi: Attends que je te conjugue toi, sache que l'élégance c'est quand l'intérieur est aussi beau que l'extérieur. Et la prochaine fois, tâche de de gèrer ton maquillage, ton visage n'est pas un cahier de coloriage.

Elle ne dis rien et se contenta de se frotter le visage. Peut être pour examiner l'exactitude de mes injures. J'ai été obligé de la remettre à sa place vu qu'elle m'a qualifiée de conne alors que jusqu'à présent, j'ai été patiente avec elle.

Zakaria ne cessait de me lancer des regards noirs. J'ai tourné les talons et nous avons continué la route mais mouhamed ne me laissa pas le temps de savourer ce qui venait de se produire.

On marchait et tout d'un coup, il éclata de rire.

Mouha: Dis donc, ma grande, je ne savais pas que tu étais si douée en matiére de défense

Moi: je ne peux empêcher à un oiseau de voler au dessus de ma tête, mais je peux quand même l'empêcher faire un nid sur ma tête.

Mouha: En tout cas tu sais bien te défendre, je suis fier de toi.
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