Les pierres précieuses

Chapitre 1

Je venais de me réveillé. Je suis Alice, celle qu'on appelle Alice Diamant.

On m'a enlevé mon nom de famille pour ce nom de famille pourrie.

Je suis resté auprès des scientifiques pendant un temps inestimable. Ma mère dit que je resté plusieurs jours.

Les scientifiques ont essayé de découvrir pourquoi j'avais un squelette en diamant et non un squelette normale.

À la fin, ils ont abandonné. Ils ont cherché sur ma mère aussi mais rien.

Mon père, on ne pouvait pas, je l'avais perdu a mes 2ans.

Et il paraît que 3 d'autres garcons ont le même cas que moi mais avec d'autres pierres précieuses.

Même moi je trouvais sa bizarre, mais je n'étais pas du genre à perdre toute ma vie à rechercher ma nature.

J'aimerais vivre ma vie en faisant ce que j'aime. Étudier, teindre mes cheveux, faire du sport et lire.

Alors, oui j'aime étudier, oui j'aime changer la couleur de mes cheveux, oui j'aime faire du sport, oui j'aime lire.

J'aimerais devenir prof. C'est sa mon but. Même si j'ai un squelette anormale.

Cependant, les scientifiques m'ont donné plusieurs choses à ne pas faire.

Ne pas frapper, car mes os ont l'air d'être plus solide donc je peux faire de très gros dégâts.

Ne pas en parler aux autres, car beaucoup de gens n'hésiteront pas à me faire des choses bizarre pour prendre mes os.

Mon dossier est caché comme top secret.

Sa fait une semaine que l'école à commencé, et moi, je l'avais raté.

Mais je ne me plains pas, c'est mieux à la rentré qu'aux vacances.

Je m'étais levée et je me suis rincée le visage. J'entendais ma mère m'appeler pour le petit déjeuner.

Je suis rentrée dans ma chambre pour m'habiller.

J'ai enfilé un t-shirt blanc et au dessus une veste en jeans. Avec un pantalon en jeans aussi.

Je suis descendu jusqu'à la cuisine. Ma mère m'avait préparé des crêpes.

Elle pense que j'ai souffert mais je me sens en pleine forme.

Elle cuisinait en me tournant le dos.

- Bonjour ma belle, me dit ma mère calmement.

- Bojour maman, lui répondis-je.

Elle se sentais mal à l'aise, je le sens. Ou peut être quelle était triste de ce que j'avais subi.

-Je t'ai préparé ton sac, j'y est mise quelques cahier, m'informa ma mère.

-Merci maman, lui répondis-je.

Elle essayait de ne pas parler de hier, la journée, pour elle, qui m'a traumatisé.

J'ai pris mon sac et je suis sortis. Je marchais vers l'école quand je repérait soudainement Victoria, ma meilleure amie.

- Victoria! M'exclamais je.

Sans rien me répondre elle m'enlaça.

- Pourquoi tu n'étais pas là à la fin rentré ? Me demanda Victoria.

- J'étais à l'hôpital avec ma mère, lui dis-je.