Comme l'une des petites fées de tes histoires
Tu es venue me voir.
Mon visage, m'a-t-on dit, a changé
Tu savais comment m'apprivoiser
Et tu m'as montré
Comment traverser la passerelle vers ton monde.
Les rhizomes étaient pour toi, les guerriers de l'ombre
Les nuages te guidaient telles des boussoles.
Tu écoutais les étranges palabres du vent
Tout cela était dément...
Mais maintenant, je n'écouterais plus ton rire jubilatoire
Nous ne nous attablerons plus à la table d'ivoire
Car la passerelle s'est refermée sous tes pieds.
Je ne le reverrais plus jamais
Le seul regret que j'ai
C'est de n'avoir pas eu le tact
De te dire combien je t'appréciais.
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Réminiscences
PoetryMoments douloureux enfouis dans de vieux cahiers, je les expose ici pour pouvoir enfin les effacer.