Etendu sur le bitume, il regarde le vent froisser les feuilles. Le vent est tiède.
Ces yeux sont ouvert et cette bouche sourit.
Un ami délicat vient t'enlever.
L'espace d'un instant, d'un très court instant, il reprend son souffle...
Mais son regard s'embrume et tout s'accélère....il est déjà mort
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Réminiscences
PoesíaMoments douloureux enfouis dans de vieux cahiers, je les expose ici pour pouvoir enfin les effacer.