Chapitre trois.

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Je m'étais retournée à l'entente d'une voix grave qui avait surgit derrière moi. Un jeune homme habillé en bleu de travail.

- … Mais qu'est-ce-que tu fais ici ? Enfin, t'as pas le droit d'être là ? Puis, t'es qui

La première chse à laquelle j'avais pensé, était le fait qu'il m'avait probablement entendu chanter. Le fait que j'étais là, sans autorisation, m'importait complètement.

En fait, je n'avais pas vraiment pris la peine de regarder la façon dont il était coiffé, habillé ou encore fait attention à son physique. Que quelqu'un d'autre que moi, aurait pu m'entendre chanter, m'avait entièrement chamboulée.

 - Euh... Je... J'y vais, désolée.

FIN FLASH BACK

3 jours plus tard

Point de vue omniscient

Elle était agitée sur le chemin du retour. Retour chez sa réelle maison : Chez sa mère. Ce n'était pas que la maison de son père ne l'était, plutôt dire qu'elle n'était que simple ''maison de vancances''.

Elle ne parvenait pas à trouver une position qui pouvait la rendre plus à l'aide. Elle en avait essayé des tonnes. Assise normalement : Négatif, puisce que justement elle se sentait trop normale. Assise, avec les pieds posés sur le dos du siège d'un des passagers qui se présentait devant elle : Négatif, car celui-ci l'avait contasté et s'était retourné en lui jetant un regarde avec ''de gros yeux''. Assise , les jambes recourbées sur sa poitrine : Négatif, parce que ses jambes tramblotaient, et sur lesquelle elle avait posé son menton, cela le faisait trembler aussi.

Puis, se rednant compte que tenter de chercher de bonnes positions l'a mettaient encore plus mal-à-l'aise, elle avait opté pour le premier choix.

Elle aurait souhaité rentrer chez elle sans avoir la moindre pointe d'inquiétude. Elle se répétait sans cesse : « Mais comment t'as fait pour être aussi conne ? ».

Elle se trouvait débile. Complètement débile.

La jeune brûne aurait voulu faire marche arrière. Un simple retour en arrière qui lui aurait permis de ne pas entrer dans « cette fichue salle de concert ». Elle regrettait d'y avoir posé le pied. D'y avoir regardé chaque recoins qu'elle avait admiré. Et d'y avoir même respirer un quart de seconde. Néanmoins elle n'éprouvait aucun regret d'y avoir laissé son empreinte, en chantant. Loins de là.

Un simple retour en arrière qui lui auriat permis de ne pas oublier sa sacoche dans un coin de la scène, qui dans celle-ci laissait habiter son journal intime.

1 mois plus tard

Les volets de sa chambre n'étaient fermés qu'à moitié ; juste pour ne pas qu'elle soit complètement dans l'obscurité. Une chaleur insoutenable errait dans la chambre d'Avery. Allongée, ou plutôt recourbée sur son lit, elle regardait un des murs non-peints de sa chambre, mais réellement y prêter attention. Elle semblait pensive. Totalement perdue. Dans ses pensées. Dans son monde. Ailleurs.

Elle était sortie de ses pensées, quand son ordinateur portable l'avait avertie qu'elle avait reçu une nouvelle notification Facebook.

Pendant quelques secondes, elle avait hésité à se lever pour regarder ce qui l'avait dérangé. Puis elle sétait souvenue que son frère devait lui faire part d'une de ses photos de ses fameuses vacances à Las Vegas. Elle s'était levée en lâchant un juron preque innaudible après un léger soupir d'agacement.

Elle traînait ses pieds jusque son bureau. Elle prit place sur sa chaise et cliqua sur l'onglet « Facebook ». La jeune fille fut surprise de voir que ce n'était pas une notification, mais un message.

Un nouveau soupir d'agacement. Un clic gauche sur l'icône ''Message''. Le message apparu. Un passage rapide de mains dans ses cheveux pour les remettre en place. Et elle avait commencé à lire les première lignes du mesage envoyée, par un certain « Aaron Cooper ».

 * ''Je sais pas si t'as la moindre idée de qui je peux bien être. Mais je pensais que t'allais revenir pour réccupérer ta sacoche.''

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