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New York. Voilà où Hermione était allé. Elle avait louée une chambre dont tout un mur était vitrée et donnait sur les nombreux gratte-ciel de la ville. Elle avait pris le loft sous le nom de Harmony Vays, sa meilleur amie moldue.
Personne ne la trouverai ici.

De tout évidence, il n'y avait pas tous les Mangemorts chez les Malfoy, et les autres avait dut être déjà mis au courant de ce qu'elle avait fait. Elle redoutait par dessus tout qu'un des serviteur du mal la retrouve. Sinon, elle était mal. Très mal. Et cette fois, elle n'aurait peut être pas la chance qu'elle avait eu dans le manoir. Elle se baladait la journée en teignant ses cheveux en noir et en les lissant. Elle avait faut disparaître ses nombreuse cicatrise, et elle mettait toujours un long gant sur son bras gauche.

Elle avait lu dans la gazette du sorcier que les douze Mangemorts qu'elle avait stupéfixiés étaient à présent à Azkaban. Dumbledore avait expliqué que c'était elle qui les avait rendus à la justice, si bien que tout le monde savais qu'elle avait survécu avec quinze Mangemorts face à elle.

Libre.
Loin de tous ses soucis, Hermione se sentait belle et bien libre.

Écoutant à présent, une chanson à fond dans sa chambre, après avoir lancé un silencio, elle chantait les parole en regardant par la grande fenêtre de sa chambre qui partait du plafond au sol et qui s'étendait sur tout le mur.

Moi, je suis pas farouche, et j'embrasse pas sur la bouche,

Je préfère qu'on me saigne, plutôt que te dire "je t'aime"

Je ne connais pas l'idylle, mais dans un battement de cils,

Je commence à m'y faire, je commence à vous plaire.

1, 2, 3 oui, c'est à toi mais,

Oh laissez Lucifer, elle a besoin de plaire !

1, 2, 3 non, c'est pas toi mais

Dans les mains des experts je vais me laisser faire !

Moi je suis libre comme l'air, on me désire je me sert,

Le choix est bien difficile, entre ces garçons facile,

Je vis sans état d'âme, et l'état m'envie,

J'abuse de tous mes charmes, et je désobéis.

1, 2, 3 oui c'est à toi, mais,

Oh laissez Lucifer, elle a besoin de plaire !

1, 2, 3 non c'est pas toi mais,

Dans les mains des experts je vais me laisser faire !

1, 2, 3 oui c'est à toi, mais,

Oh laissez Lucifer, elle a besoin de plaire !

1, 2, 3 non c'est pas toi mais,

Dans les mains des experts je vais me laisser faire !

Hermione se laissa tomber sur son lit à la fin de la chanson. Elle aimait être libre. Deux ans plus tôt elle aurait été outrée par sa conduite, mais à maintenant, elle avait grandit, elle voyait les chose sous un tout autre angle.

Plongée dans ses pensées, elle s'endormi.

OooOooOooOooO

Severus Rogue, s'était changé en hiboux. D'après le plan de Dumbledore, il lui suffirait de prendre une lettre avec lui et d'aller trouver la rouge et or.
La lettre le traîna à travers quelques villes pleines de mordus qui ne remarquèrent pas sa présente. Il survola New York, puis le bout de parchemin le fit piquer vers un haut gratte-ciel.

Il passa devant de nombreuse fenêtres, cherchant la jeune fille de ses yeux perçants de rapace nocturne.
Quand il la trouva enfin, il fut surpris de la trouver endormie sur un lit aux draps blanc. Elle semblait si paisible. Malgré lui, il s'avança vers la grande fenêtre, et donna un coup de bec sur la fenêtre.

OooOooOooOooO

TOC TOC ! Hermione se réveilla en sursaut. Il lui fallut un instant pour se rendre compte qu'elle n'était plus dans sa cellule miteuse et qu'elle était bien en sécurité à New York. Elle venait de faire un rêve bizarre. Rempli  d'ombre et de mauvaises intentions. TOC TOC ! La rouge et or tourna la tête vers la vitre.
Au dehors, elle vit un hiboux d'un noir de jet, taper sur la fenêtre, une lettre entre ses serres. Serais-ce une lettre de menace ? Qui l'avais retrouvée ? Était-elle en danger ?
Elle lança un coup d'œil à l'oiseau sombre. La jeune femme connaissait ces yeux. Sombre et furieux. À qui appartenaient-ils ?
Elle se leva lentement de son lit, non sans garder l'animal des yeux. Pied nus, elle se dirigea vers la fenêtre et la fit pivoter. Elle saisi la lettre au moment où l'oiseau s'introduisait dans la pièce.
Elle reconnu l'écusson de Poudlard. À la vue du lion, de l'aigle, du blaireau et du serpent, elle poussa un soupir de soulagement. Pendant un instant, elle avait cru que cette lettre venait des mangemorts. Elle se dirigea vers le bureau et y tira la chaise. Elle s'y installa, brisa le sceau et ouvrit l'enveloppe. À l'intérieur, il y avait un message.

"Chère Miss Granger,
Je suis heureuse que vous ayez reçut cette lettre, ce qui signifie que nous vous avalons localisée.
Bien à vous"

Hermione fronçât les sourcils. Jamais le directeur n'aurait écrit une lettre aussi courte sans la signer. Et si c'était un piège.
Une ombre l'envahit soudain.
Hermione leva les yeux et poussa un cri d'épouvante.
Severus Rogue se tenait derrière elle.

Elle se leva d'un bond. Ainsi, les mangemorts lui avait envoyé un mangemort. Elle pris sa baguette dans sa poche et se retourna vers son professeur en la pointant sur lui. Elle ouvrit la porte et se mît à courir dans les couloirs, rogue à ses trousses. Elle changea ses cheveux en un clin d'œil et pénétra dans le grand hall dans lequel elle trouva le gérant de l'autel qui la regarda passer d'un air étonné.
Il lâcha néanmoins son stylo lorsqu'il vit un homme vêtu d'une robe noir et d'une cape qui courait derrière sa cliente. L'homme passa devant lui et il entendit un "oubliette". Le patron roula les yeux, ramassa son stylo en souriant et reparti dans la direction apposée, se rendant dans son bureau, bien décidé à donner une augmentation aux femmes de ménages.

De son côté, Hermione souriait toujours. Elle avait rangé sa baguette pour ne pas alarmer les moldus, sachant très bien que son professeur ne passerait pas inaperçu. Malheureusement, les rues étaient désertés. Et courir comme une dément, pied nue et en pleine nuit ne l'en hantait guère. Elle bifurqua soudain sur sa gauche et s'engagea dans une ruelle étroite. Un autre virage à gauche, puis à droite la mena dans une ruelle où elle s'arrêta pour reprendre son souffle. Elle semblait avoir semé son professeur.

Une soudaine douleur à son avant-bras gauche la força à pousser un petit cri de douleur et à presser son autre main valide sur son gant. Ça la brûlait.
Lentement, elle se laissa glisser le long du mur.
Elle savait que ce qu'elle avait sur son bras pouvait provoquer un évanouissement. Et c'est qui se passa.

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bien le bonjour à tous, j'espère que ce chapitre vous aura plus.
Je vous invite encore une fois à vous abonner à ma chaîne !!
Fantastiquement
EnjoyFantasy

Trop Plein d'Erreurs (Sevmione)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant