chap 1

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Les jours passent sans fin, depuis que nous avons demenager... a oui, j'ai oublier toutes les règles de politesse, alors voila:

Je m'appelle Alexandre Desbots, j'ai actuellement 17 ans, enfin mon corps à 17ans, ma conscience, elle, est millénaire. Si l'on peut dire que quelque chose qui n'est pas physique ai un âge. Bref ma famille à déménagé, dans un village paumé au milieux des montagnes... et bien sûr cette fois encore c'est de ma faute. Vous vous dites sûrement, "Ah encore un de ces gamins qui rejettent toutes les fautes de la Terre sur eux pour attirer l'attention". Mais si je vous disais que depuis ma petite enfance, je change d'ecole et de ville à chaque fois qu'un événements atroce se produit à proximité de l'endroit où je vis. Et si je vous disais que ça arrive régulièrement? Ça vous foutrait les jetons pas vraix?

Et bien tout cela est vraix... mais surtout si vos parents vous regardaient à chaque changement avec une certaine crainte dans le regards, vous ne penseriez pas que c'est de votre faute? Et bien c'est ce qui m'arrive tous les deux mois environt depuis que je suis en âge de parler.

Bref revenont au comencement, les journées sont longues et si peu intéressantes depuis que nous avons demenager. Cette fois c'etait après le décès de cette fille, celle à qui ont à fait des choses atroces et que l'on a retrouvée, la peau recouverte d'une étrange suit noireatre. Enfin comme toutes les autres. Le phénomène est trop étrange et la police commence à penser à un tueur en série, mais dans les ruelles sombres des villages, une toute autre histoire se raconte.
Cette histoire c'est la légende que me racontait ma grand-mere quand j'etait encore dans un berceau. Cette histoire c'est la légende de l'Umbra de Moarte, l'ombre de la mort en roumain.
C'est celle ci:

Il est dit, dans les récits les plus anciens, qui nous viennent du temp ou l'on écrivait pas encore. Du temp où les récits avait un âge et où l'âge était encore un récit. Qu'un enfant mort-né lors d'une nuit ou aurait eu lieu une pluit d'etoile filante, ressuciterait et aurai les pleins pouvoirs sur la mort. Il recevrait alors une part de l'âme la plus monstrueuse qui soit au monde et serai posséder par elle a partir du moment même où il pourra raisonner. Ainsi une fois tout les deux cycles de lune, l'abomination se reveillerait pour se rassasier de vie humaine ne laissant pour seule trace de son passage qu'un léger voile de tenebre qui resterait imprégner dans la peau de ses victimes. Nous serions tous alors à la merci de L'Umbra de Moarte.

une ombre de passageOù les histoires vivent. Découvrez maintenant