Je m'appelle Lorlyne Erin, j'ai 17 ans, et aujourd'hui ma vie a basculé, aujourd'hui je suis seule.
Tout à commencer alors que je sortais de mon court de sport, je partais du stade en direction de la voiture de fonction de mon père. C'est un homme jeune, il m'a eu très tôt mais ça ne l'a pas empêcher de devenir enquêteur en chef du département des affaires de meurtres. A ce moment là il était très stréssé, on venait de lui attribuer l'affaire qui concerne tout ces assasinats à la substance noireatre, et une jeune fille avait été retrouvé morte le matin même.
J'ai ouvert la portière et je suis monté dans la voiture, il ne m'a pas entendu. Je l'ai appelé pour lui signifier ma présence et il ne m'a pas repondu. J'allais lui crier que j'etais la lorsqu'il a tourné brusquement la tête vers moi.
Ses yeux étaient entièrement blanc, seul restait ses pupilles qui étaient retrecies à l'extreme, comme des tâches d'encre sur une feuille d'un blanc laiteux. D'ailleurs le noir de ses pupilles s'est soudain mis à déborder remplissant ses yeux d'une sorte d'encre sur toute leur surface. Ça faisait extrêmement peur mais je n'ai pas bouger. Il a tendus le bras vers moi, ses doigts recourbés en serres menaçantes, mais au lieu de me toucher il traversa tout simplement mon corps. Au moment même où ses ongles etaient censé toucher ma peau, ses yeux sont redevenus normaux, il s'est redressé comme si tout allait bien, comme si il ne s'etait rien passer:- mais qu'est-ce que je fais ici?
Ses paroles m'ont transpercé, il ne me voyait pas et ne se souvenait vraiment pas de moi??? Mais un heure avant, à peine, il me parlait de nos futurs vacances. Il tourna la tête vers moi, et je crus un instant que tout ceci n'etait qu'une blague et qu'il rirait bientôt en me disant que j'etait trop crédule. Mais ses yeux étaient vides de touts sentiments. La voiture démarra et alors que je restait prostré contre la portière,Nous nous dirigions vers la maison. Au moment où la voiture passait le portail ouvert, un mur invisible semblait l'empecher de rentrer, mon père forçait le véhicule à avancer mais rien n'y faisait, c'etait tout simplement impossible. Pourtant dans un derniers sursaut, l'audi A6 noire entra dans la propriété, mais pas moi. Je venais d'etre éjecté par ce mur invisible en traversant tout simplement le pare-brise arrière mais sans le casser.
C'etait tout simplement affreux!! J'ai essayer d'entrer à nouveau chez moi, mais j'ai été une nouvelle fois repoussée. Quelque chose ne voulait pas de moi auprès de mes parents.
J'ai pleuré toute les larmes de mon corps, assise par terre à côté d'un tas de feuille mortes. Certaines personnes que je ne connaissait pas me regardaient, les sourcils froncés tandis que mes voisins, ceux que je connaissaient depuis longtemps maintenand m'ignoraient totalement. Au bout d'un certain moment, j'ai décidé de me lever et je suis aller voir les autres personnes que je connaissaient. Comme mes meilleures amies, mais une fois encore je n'ai pas put accéder à elles, cette menbrane invisible me retenait, me repoussait et je ne pouvait rien faire.
Il me semblait que toutes les personnes que je connaissait ne se souvenait plus de moi, et que seul les inconnus pouvaient me voir.
Je marchais seule dans la rue, désespérée, ne cherchant plus aucune solution, il faisait presque nuit. En fait dans cette petite ruelle un peu sombre, j'ai regardé ma montre, il était exactement 17h55. J'ai relever la tête et j'ai vu une scène étrange. J'ai vu un garçon d'environ mon âge, qui se tenait à quelques pas d'une jeune fille. Elle avait les cheveux courts et elle tremblait de tous son corps. Ils étaient tous les deux immobiles.
Soudain, une ombre noir un peu brumeuse sembla sortir par les yeux de l'homme. Cet chose étrange s'approcha de la fille, je voulu lui crier de courir, de s'enfuir. Mais les mots se bloquaient au fond de ma gorge, le silence qui régnait n'etait pas normal, c'etait un silence...de...mort. L'ombre posa une main nuageuse sur son épaule, toujours relié au garçons par ses yeux, il posa un semblant de bouche sur son cou et aspira son sang. Plus il aspira son fluide vital, plus la forme noir grossissait et plus la jeune fille voyait son corps s'asséché. Un clignement d'oeuil a suffit à les faires disparaîtres. J'aurai put penser que j'avais révé, si il n'y avait pas eu le corps de la fille par terre, recouverte d'un reste de matière brumeuse, couleur de suit.
A la vue du cadavre, j'ai compris que ce jeune homme était le tueur que mon père cherchait, lui ou l'ombre. A cette constatation je me suis évanouis.

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une ombre de passage
Ciencia Ficciónet si une ombre inconnue planait sur nos vie? menaçante et symbole de la mort, elle serait la dernière chose que nous voyons avant de mourir. une légende qui pourrait révéler ou non des parts de vérités.