Sweet Blood

Chapitre n°3 : Cat's Fight

Voilà comment ma petite équipe quitta le territoire de la meute avec un petit nouveau en plus. Break, le tigre-garou dont le clan avait quasiment été totalement exterminé. Oh joie ! Je préfère travailler seul habituellement, le travail d'équipe et difficile, surtout quand on doit tirer sur tout ce qui bouge, on a vite tendance à tirer sur ses alliées. C'est quelque chose qui ai déjà arriver, j'étais aller avec une équipe de policier dans le refuge d'un maître vampire renégat. Pas besoin de vous dire que descendre à quinze dans un endroit exigu n'est pas une bonne solution. Au final, deux personnes étaient tombées sous des coups de feu alliés. J'avais pris la tête du groupe, encadré par Amélia et Scarlett marchant à quelque pas en arrière et Break, le tigre-garou fermait la marche toujours torse nu. Je n'avais jamais compris pourquoi les métamorphe ressentaient ce besoin d'être à poil en permanence, surement un truc avec leurs côté animal après tout eux ne ressentent pas le besoin de porter de vêtement.

Je fus coupé dans ma réflexion par un rugissement, très sonore il aurait presque pu faire vibré le sol. Break que je regardais écarquilla les yeux, comme si on venait de lui pincer les fesses. Ma vision suivante fut obscurcie par une grande forme floue orange et noir qui me percuta à la vitesse d'un train à grande vitesse m'envoyant volé contre un des arbres en contre-bas. Le choc ne fut pas agréable loin de là, je pu sentir la douleur se propager dans tout mon dos pétillant comme les bulles d'un soda. L'air de mes poumons fut expulsé et je suffoquais quelque pendant quelques secondes alors que des tigres commençaient à envahir les lieux toutes griffes dehors crachant comme de gros chats ... des chats très très gros et très très en colère. Alors que je me remettais de mes émotions un autre félin me fonça dessus près à me déchirer la peau avec ses griffes qui brillaient comme des couteaux sous l'éclat de la lune. Quelqu'un, Break ou Scar, vu la carrure avait sauté sur la bête la détournant de moi. Finalement avoir des coéquipiers ce n'est pas si mal parfois. Je sorti mon flingue de son hoslter, enlevant la sécurité et me lançait dans le feu de l'action. Mon Coonan 357 magnum était mon arme de prédilection, j'avais passé des heures et des heures dans un stand de tir, mais également sur le terrain. Honnêtement, je pense que vous pouvez passer des années à vous entrainer sur un stand de tir, vous ne serez toujours pas prêt à affronter la réalité, cette réalité est le seul véritable test valable pour savoir si vous êtes apte à survivre où non dans un monde de violence ... le problème c'est qu'il n'y a pas de rattrapage, vous réussissez où vous mourrez.

Je visais, vidant l'air de mes poumons et me concentrais sur un des tigres, un garou sous sa forme animal. Je me concentrais alors que ce dernier c'était immobilisé pour essayer de déchiqueter Scar qui elle n'avait changer que ses mains en griffes tranchante et dangereuse. Seul les garous puissants peuvent réaliser ce genre de prouesse. Je ne voyais plus que ma cible et le bout de mon canon, je me focalisais sur elle, je devenais elle. J'avais appris à tirer de cette manière, elle se rapproche un peu du combat à main nu, dans les arts martiaux où il faut visualiser son coup et l'énergie porter par ce dernier en direction de l'adversaire. Je pressais la détente, le coup partant instantanément dans un bang sonore, le tigre s'écroula peu après sur le sol. Mes balles sont plaquées en argent et le bout est rempli de nitrate d'argent, elles ne sont pas véritablement légales, mais véritablement efficace. La plupart des créatures craignes l'argents. Je n'eus pas le temps de braquer une autre cible qu'une autre masse de couleur orange et noir me fonça dessus, je pusse voir, dans l'instant, l'éclat d'un croissant de lune se refléter dans les griffes du tigre avant qu'un autre tigre, cette fois noir et blanc me sauva in extremis, attrapant la gorge de l'attaquant avec ses crocs et le déviant de me trajectoire. Je devinais que c'était Break qui lui aussi c'était transformé. Si tous les tigres-garous avaient été tuer sous peu, comment se faisait-t 'il qu'il y en ai autant dans les lieux ? Je me poserais des questions plus tard, pour l'instant l'essentiel était de ne pas finir en Hachi Parmentier. Amélia elle, qui avait été si silencieuse et stricte tout le long de notre périple se battait bien, il ne fallait pas se fier à son apparence frêle, elle bougeait bien et se montrait impitoyable, elle jouait surtout sur sa rapidité pour attaquer à la vitesse de l'éclaire après avoir esquivé. Elle arrachait des gorges, comme si on lui avait demander de taper un compte rendu lors d'une réunion importante. Je tirais encore quelques coups de feu, touchant mes cibles et par chance aucun de mes alliés.