Chapitre 2

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PDV Mathilde 

Cet horizon je le fuyais, nonne je ne le deviendrais certainement pas. Il en étais hors de question. Je voulais être libre de mon avenir et choisir ce que je voulais. Je me marierai avec un homme qui me voudras non pas pour m'occuper de lui mais pour bâtir un monde avec lui. 

Bien sur tout cela pouvait tout aussi bien me mener vers la mort. Je ne pensais pas revoir mes parents vivants. Nous allions surement nous rejoindre de l'autre côté avec le Seigneur. 

Je regardais les filles qui allais traverser cette mer avec moi, elle était soit stupide ou courageuse, peut être aussi fuyait-elle mais toutes nous avions le même destin. Cette nouvelle-france n'attendait que nous. Deux des jeunes femmes était si maigre que je doutais fort qu'elle survécussent à la traversée. Des orphelines à n'en pas douter, le roi c'était mit a ramasser les gueux qui salissait Paris et ses rues. Elle avait dût accepter afin de ne pas devenir fille de joie, quoi que je doutes qu'elles soient encore vierge. 

La soeur qui était avec nous avait enfin finie de parler. Il était temps, je crois même qu'elle avait réussi a faire peur à ma voisine de gauche, une brunette au teint mat et aux traits anguleux. Dans c'est yeux bleu, comme la couleur de cette mer que nous chevauchions, on n'y voyais  de la terreur. Elle devait imaginée les pirates, ces hommes sanguinaires qui s'abattais sur les vaisseaux de commerce et les bateaux comme le notre, afin de piller biens et femmes... 

Un instant je fermais les yeux, voulant me souvenir encore de cette ferme ou j'avais vécue mon enfance. Mais les temps avait changé en grandissant, bientôt la terre se mit a s'assécher et il n'y poussa plus rien, mais parents m'avait envoyer au couvent afin de ne plus s'inquiéter pour moi , sachant que j'y serais mieux nourris et soigner. Cela avait dût leur couter plus que je ne le pensais car je n'entendis plus jamais parler d'eux, et bien que l'argent qui me maintenais dans ce lieu fut toujours envoyé, je doutais de leur survis...

Enfin si mon geste de partir pouvait les avoir aidés a garder cet argent si durement gagner, eh bien je le ferais. Je n'étais tout simplement pas faîte pour vivre cette vie... Un jour je saurais ce qui m'avais mener sur cet terre.


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hey ! Salut :) J'espère que vous aimé. ici nous découvrons Mathilde, qui semble vouloir trouver un lien dans tout...

Merci de lire :)                                                              


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